La ville d’Oyem, chef-lieu de la province du Woleu-Ntem semble décidée à offrir un nouveau visage aux habitants, au regard des multiples travaux qui y sont lancés. Ainsi dans le cadre de l’amélioration des conditions de vie des populations, les autorités ont procédé au lancement des travaux de constructions des passerelles dans le 1er et 2ème arrondissement d’Oyem.
Lors de son passage dans la province du Woleu-Ntem en décembre, le président de la transition Brice Clotaire Oligui Nguema avait annoncé redonné à Oyem l’image qu’elle mérite. Passant de la parole à l’acte, la ville s’est vue doter d’un système de transport urbain, l’aéroport d’Ewormekok qui a été complètement réhabilité, en passant par le lancement des études de terrain pour la réhabilitation des voiries urbaines entre autres. À cela vient se greffer, la réhabilitation et la construction des voies de passages qui relient les quartiers Nkomayath-Rond point Mimbang dans le 2ème arrondissement et Minka Nfoua-Mekom Nkodjein dans le 1er arrondissement.
Petit à petit Oyem change son visage
Il faut dire que la réalisation de ses projets tient particulièrement à cœur au Chef de l’Etat Brice Clotaire Oligui Nguema qui inscrit le développement de toutes les villes du Gabon dans ses projets prioritaires. Lequel met en place toutes les ressources nécessaires afin d’offrir les meilleures conditions de vie aux populations gabonaises. Ainsi, pour s’assurer du bon déroulement de ses travaux, l’ancien Maire du 1er arrondissement John Minang a donc pour rôle de superviser les travaux de construction et de réfection de ces édifices.
Notons que ces travaux intègrent la longue liste des projets initiés dans Oyem à savoir, la construction du premier musé à l’intérieur du pays, le lancement des travaux du Centre de formation professionnelle et du lycée technique, la construction d’Oliguiville ainsi que du nouveau cimetière municipal sis au quartier Village Endome dans le 1er arrondissement. Des projets nobles redonnent de l’espoir aux populations gabonaises qui ont été longtemps plongées dans une précarité entretenue par le régime déchu.
