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Gabon : Libreville accueillera le siège de l’association des francs-maçons « réguliers » francophone

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Assiste-t-on à un véritable renouveau de la franc-maçonnerie à l’Orient de Libreville ? C’est le sentiment qui pourrait se dégager au vu de la place que devrait occuper désormais la Grande Loge du Gabon (GLG) grâce à sa désignation pour acceuillir le siège de l’association des francs-maçons « réguliers » francophones faisant ainsi de Libreville, une cité lumière pour l’ensemble des fils de la veuve. 

Nouvellement créée sous l’égide des frères français, l’association des francs-maçons « réguliers » francophones devrait se doter d’un siège afin de mieux coordonner ses activités. En effet, selon des informations relayées par Africa intelligence, c‘est Libreville, la capitale gabonaise, qui devrait accueillir les bureaux de cette organisation qui regroupe l’ensemble des frères de lumière francophones. 

Libreville désormais siège de l’association des francs-maçons « réguliers » francophones

Il faut souligner que la désignation du Gabon pour accueillir ce siège aurait été rendue possible grâce à l’implication du Grand Maître de la Grande Loge du Congo Denis Sassou Nguesso. Si cette désignation semble être boudée par une partie des États sahéliens, cette initiative renforce le nouveau grand maître de la Grande Loge du Gabon, Jacques-Denis Tsanga. 


Il faut dire que ce grand changement intervient dans un contexte particulier dans la GLG qui depuis l’élection du nouveau Grand Maître s’attelle à remettre de l’ordre au sein de cet atelier gangrené par plusieurs maux. Pour rappel, se définissant comme grande loge dite « régulière » les principes de base édictés le 4 septembre 1929 par la Grande Loge Unie d’Angleterre dispose que  « que les discussions à caractère religieux ou politique doivent être strictement interdites en Loge ». Et comme sous-entendu, sous le regard du Grand Architecte de l’Univers et en Sa volonté révélée, de ne jamais intervenir dans le domaine social et/ou sociétal.

Morel Mondjo Mouega

Titulaire d'une Licence en droit, l'écriture et la lecture sont une passion que je mets au quotidien au profit des rédactions de Gabon Media Time depuis son lancement le 4 juillet 2016 et de GMTme depuis septembre 2019. Rédacteur en chef

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Un commentaire

  1. Les citoyens gabonais n’en veulent pas ils n’ont qu’aller faire ça ailleurs la framaconneri ne nous serre rien au contraire cette une secte nocive pour le gabon et les gabonais nous n’en voulons pas elles n’a rien fait pour le développement du gabon et des gabonais

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