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Gabon : l’association Femme, on t’écoute sensibilise sur les violences basées sur le genre

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L’association Femme, on t’écoute a, le samedi 23 février 2024, organisé une campagne de sensibilisation dans le cadre de la journée de la justice sociale. Une initiative qui a pour objectif d’échanger, d’édifier et d’accompagner les femmes, particulièrement celles victimes de toutes formes de violence. 

C’est dans le cadre de la célébration de la journée mondiale de la justice sociale que la gent féminine s’est réunie. Avec en ligne de mire la sensibilisation, l’accompagnement, l’édification, l’échange avec les femmes victimes de toutes formes de violence. Notamment conjugales et professionnelles. Des discussions initiées par l’association Femme, on t’écoute. 

Plusieurs femmes sensibilisées

En effet, l’association femme, on t’écoute a autour de cette journée de sensibilisation édifié plusieurs femmes. Ainsi sur des questions de violences conjugales, professionnelles, économiques pour ne citer que ceux-là. Les discussions ont été conduites par la chargée de programme santé de reproduction Avome Octavie et l’assistant au programme genre Bliz Madjindza. La première présentation portait sur le concept de Genre et de la violence basée sur le genre (VBG). 

Les objectifs d’apprentissage étaient de définir la violence basée sur le genre, décrire les concepts clés liés à la VBG, citer les catégories les plus courantes de VBG, identifier les causes des VBG. Mais aussi, identifier les conséquences possibles des VBG, connaître l’ampleur des VBG au Gabon sur la base de la dernière enquête démographique et de santé de 2021. La seconde présentation portait sur la prise en charge et les services disponibles au Gabon pour les victimes de VBG. 

Il s’agissait entre autres de partager les types de prise en charge (santé, psychologique,sociale,judiciaire). De vulgariser le numéro vert 1404 et d’encourager les associations et ONG à se professionnaliser. Afin d’offrir un meilleur service et un service personnalisé. Enfin rappeler que la lutte contre les VBG doit être faite par les hommes et les femmes et prendre en compte les victimes et les bourreaux. C’étaient donc des échanges fructueux très appréciés par les bénéficiaires qui étaient satisfaites.

Esther Kengue

Diplômée en Communication des organisations, l'écriture est une vocation que je mets au quotidien au profit de la rédaction de Gabon Media Time pour servir mon pays.

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