Brice Laccruche Alihanga : «Foi ou vue : et si on s’était tous trompés ?»

Dans un texte introspectif et inspirant publié à l’orée du mois de juin, Bruce Laccruche Alihanga invite à reconsidérer une idée que beaucoup tiennent pour acquise : et si l’opposé de la foi n’était pas le doute… mais ce que l’on voit ? Une invitation à troquer la résignation pour la confiance, même lorsque tout semble perdu.
Longtemps, comme beaucoup, il a cru que l’opposé de la foi était le doute, la peur ou l’incrédulité. Mais à la lumière du verset de Hébreux 11:1 — « La foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas » — Bruce Laccruche Alihanga renverse la perspective. « L’opposé de la foi, ce n’est pas la peur… l’opposé de la foi, c’est ce que tu vois », affirme-t-il.
La foi contre les apparences
À travers cette réflexion, l’ancien directeur de cabinet de la présidence, reconverti dans une démarche spirituelle affirmée, interpelle : « Ce que tu vois : les rapports médicaux, les blocages, les refus, les tensions… tout cela n’est pas la vérité ultime. » Pour lui, la foi ne s’incline pas devant les apparences, elle défie la logique, et ose affirmer que « Dieu agit, même si je ne vois rien ».
Son message sonne comme un manifeste : ne pas se laisser gouverner par ce que les yeux perçoivent, mais par ce que le cœur croit. Dans un contexte national encore incertain, cette invitation à replacer la foi au centre de l’espérance individuelle résonne fortement.
Juin, mois de foi et non de résignation
« Que juin ne soit pas un mois de résignation, mais un mois de foi », conclut-il, dans un appel personnel et collectif à choisir une posture de foi plutôt que de défaite. « Moi, j’ai choisi de marcher par la foi et non par la vue », affirme-t-il.
Au-delà d’un simple message spirituel, c’est aussi une parole d’espérance dans un pays en transition. Un appel à croire que, même au cœur du chaos, l’invisible peut encore produire des miracles.
GMT TV