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Tchibanga : cri de détresse d’une compatriote atteinte d’un cancer du sein

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Au quartier Moukinga, dans le 2ème arrondissement de Tchibanga, une compatriote vit un véritable calvaire. Amélie Bignoumba, une quinquagénaire, souffre depuis 2022 d’un cancer du sein. Privée de moyens pour se soigner, elle a lancé un cri d’alarme poignant au couple présidentiel à travers un reportage diffusé sur TéléAfrica Live.

Depuis le diagnostic de son cancer du sein en 2022, Amélie Bignoumba a vu sa vie basculer. Résidant à Moukinga, elle doit faire face non seulement à la douleur physique et émotionnelle causée par la maladie, mais aussi à des difficultés financières écrasantes qui rendent l’accès aux soins médicaux pratiquement impossible.

Appel à l’aide d’une compatriote malade

Amélie Bignoumba a découvert très tard la nature du mal qui la rongeait. À l’heure où nous écrivons ces lignes, cette compatriote, gravement affaiblie, a perdu l’usage de son bras gauche. « Je n’arrive pas à utiliser mon bras. Je suis presque inapte », a-t-elle déclaré. Incapable de travailler, elle passe ses journées allongée, dépendant entièrement du soutien de sa mère et d’une voisine bienveillante. Mais ce soutien est loin d’être suffisant face aux défis médicaux et financiers qu’elle rencontre.

Face à cette souffrance et vivant dans une grande précarité, Amélie n’a pas eu d’autre option que de solliciter l’intervention de ses compatriotes et des autorités. « J’ai besoin d’aide. J’ai vraiment besoin d’aller à l’hôpital pour voir un bon médecin », a-t-elle déclaré d’une voix faible. Son appel est un cri de désespoir, demandant une assistance médicale urgente pour combattre la maladie qui la ronge.

Amélie Bignoumba espère que son appel sera entendu non seulement par le couple présidentiel, mais aussi par tous les compatriotes et les organisations capables de l’aider. La solidarité est essentielle pour lui permettre de recevoir les soins dont elle a désespérément besoin.

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