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Gabon-Burkina: l’arbitrage plus que douteux du marocain Redouane Jiyed

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Au sifflet du match Gabon-Burkina Faso ce dimanche 23 janvier à Limbé, l’arbitre marocain Redouane Jiyed aura marqué cette rencontre de son empreinte, mais plutôt négativement. Distributeur de cartons jaunes et rouge, discutables sur de nombreuses actions dont plusieurs qui auraient pu être décisives pour le Gabon, l’arbitre marocain s’est fortement distingué par son attitude cavalière, voire impertinente, tendant à déstabiliser une équipe gabonaise qui s’est sentie lésée.

Il aura clairement été l’homme de la rencontre de ce dimanche comptant pour les huitièmes de finale de cette 33ème Coupe d’Afrique des Nations (CAN). Faisant l’unanimité par son caractère désinvolte, cavalier et clairement déstabilisant notamment pour les Panthères du Gabon, Redouane Jiyed, arbitre marocain de 42 ans officiant notamment dans le championnat marocain, aura marqué (plutôt négativement) de son empreinte une affiche footballistique de haute volée. 

Dans un stade de Limbé plein comme jamais dans cette compétition avec notamment des supporters gabonais venus en masse soutenir leur équipe, le sifflet marocain n’a pas été à la hauteur. Pis, ses décisions plus que douteuses auront fait basculer la rencontre a bien des égards. Coupable d’avoir accordé un pénalty plutôt généreux au Burkina Faso en début de match sans même recourir à la VAR. Coupable d’avoir distribué un record de cartons (15 jaunes et 1 rouge). Redouane Jiyed a clairement manqué de lucidité. 

Multipliant les erreurs d’arbitrage tout au long de la rencontre avec plusieurs hors jeux sifflés comme sur cette dernière offensive du duo Bouanga-Boupendza à 90+3’, le sifflet marocain a été désastreux comme l’ont confirmé plusieurs médias et observateurs internationaux. N’arrangeant clairement pas l’image de l’arbitrage et du football africain, cette prestation qui laissera des traces côté gabonais, devrait attirer le regard de la CAF, clairement pas dans le coup dans cette compétition aux nombreux couacs. 

A noter qu’en toute fin de match, celui qui a confondu « autorité et autoritarisme » tout au long de la partie ce dimanche, s’est montré plutôt véhément à l’endroit de Jean Noël Amonome lors de la séance de tirs aux buts, en le sommant de manière exagérément déplacée, de « se placer sur sa ligne ». Une attitude tendant à déstabiliser le portier gabonais clairement homme du match. 

A noter qu’en toute fin de match, celui qui a confondu « autorité et autoritarisme » tout au long de la partie ce dimanche, s’est montré plutôt véhément à l’endroit de Jean Noël Amonome lors de la séance de tirs aux buts, en le sommant de manière exagérément déplacée, de « se placer sur sa ligne ». Une attitude tendant à déstabiliser le portier gabonais clairement homme du match. 

Henriette Lembet

Journaliste Le temps est une donnée fatale à laquelle rien ne résiste...

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