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SEEG: 22 nouveaux diplômés au Centre des Métiers Jean Violas

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Ce lundi 1er février 2021, 22 apprenants du Centre de Métier Jean Violas, sis à Owendo, ont obtenu leurs diplômes après une formation de 61 jours dans le métier d’électricien de réseau. Un succès pour la Société d’électricité et d’eau du Gabon (SEEG) qui pourra via cette nouvelle cuvée renforcer ses ressources humaines par des employés compétents pour une gestion efficace de ses services en matière d’énergie électrique. 

C’est en présence du directeur général de la SEEG, Alain Patrick Kouma, que s’est deroulée au Centre des Métiers Jean Violas cette cérémonie de remise de diplômes à 22 stagiaires, soit 21 hommes et 1 femme, en électricité de réseau. Une formation, lancée le 2 novembre 2020, qui avait pour objectif général d’enseigner les techniques permettant aux stagiaires de réaliser en toute sécurité, hors et sous tension, des manœuvres sur les réseaux de distribution en électricité.

61 jours de formation intense répartis en une dizaine de modules dont la Prévention sécurité, la technologie du réseau HTA et BT et la réalisation des branchements en électricité. Selon le chargé de la formation en pôle électricité au Centre des Métiers Jean Violas, Pierre Ibouili, il était particulièrement question de « rendre opérationnel selon les règles et méthodes en vigueur à la SEEG », 22 apprenants qui avaient déjà travaillé dans le domaine de l’électricité. 

Lors de son discours de circonstance, le directeur général de la SEEG, Alain Patrick Kouma, s’est félicité de l’aboutissement de cette formation qui ouvre désormais les portes de l’emploi , à 22 Gabonais au sein de l’entreprise dont il a la charge. Il n’a d’ailleurs pas manqué de prodiguer des conseils aux nouveaux diplômés sur la conduite en entreprise. « Vous êtes l’image de l’entreprise auprès des clients. Dites-vous que lorsque vous posez un acte qui n’est pas correct, c’est l’image de l’entreprise que vous bafouez », a-t-il indiqué.  

Le représentant des heureux récipiendaires, qui n’est autre que l’unique visage féminin de cette cuvée, Vogel Chibassagha épouse Mouketou, n’a pas manqué d’exprimer sa joie. « On remercie le Seigneur parce que tout est bien qui finit bien. Je suis contente parce que ce boulot n’est pas facile, mais j’ai pu m’imposer au milieu de 21 hommes et je suis vraiment fière de ça. J’encourage mes sœurs à faire comme moi. C’est-à-dire, avoir un métier de base dans l’enseignement technique car il n’y a pas que l’enseignement général », a-t-elle déclaré.

Henriette Lembet

Journaliste Le temps est une donnée fatale à laquelle rien ne résiste...

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