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Gabon : les précisions de Me Anguile sur la succession de la famille Bongotha

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Mesdames Lise-Marie BONGOTHA et Virginie BONGOTHA, respectivement petite-fille et fille de Feu Monsieur Fulbert BONGOTHA et de Feue Marie BONGOTHA née MATALA, ont exprimé à charge par des audios et vidéos en date du 12 et 14 septembre 2024, des propos outrageants, diffamatoires, en appelant même au trouble à l’ordre public à l’endroit de Maître Jean-Louis Bertrand ANGUILE dans le cadre de la succession de Feue Monsieur Fulbert BONGOTHA.

Dès lors, il convient d’éclairer l’opinion nationale et internationale sur la véracité des faits.

L’Etude de Maître ANGUILE existe depuis le 15 avril 1975 et a toujours traité ses dossiers en général et les successions en particulier de manière rigoureuse conformément aux exigences légales en vigueur. Il peut être compréhensif que les émotions puissent affectées les parties prenantes surtout dans des situations délicates d’expropriation et de succession.

Toutefois, l’approche objective et factuelle de l’opinion prise à partie s’impose d’une part par la présomption d’innocence de mise en cause d’autre part, par l’obligation d’avoir la position de chaque partie pour un avis éclairé, de surcroit quand les propos avancés remettent en cause l’intégrité, la probité morale et le professionnalisme de l’accusé, en l’occurrence Maître Jean-Louis Bertrand ANGUILE.

En cela, pour les griefs relatifs à la succession, il y a lieu à savoir que :

Maitre Jean-Louis Bertrand ANGUILE n’a jamais eu à commettre un huissier dans la soi-disant procédure d’expulsion et encore moins n’a eu recours au Tribunal. La procédure relative à ce dossier qui peut être vérifiée auprès de l’huissier cité dans la vidéo du 14 n’est pas de la compétence du Notaire.

Feue Madame Marie BONGOTHA née MATALA était la seconde épouse, elle était la mère de six enfants issus de cette union sur les vingt et un enfants inscrits, avec en plus les héritiers familiaux dans le Procès-Verbal du Conseil de famille du 06 aout 1992 signé de cette dernière et homologué par le Tribunal de Première Instance de LIBREVILLE.

Maitre Jean-Louis Bertrand ANGUILE, Notaire a été désigné administrateur de cette succession par une Décision du Tribunal. Il s’avère que ce dernier n’a jamais pu accomplir sereinement sa mission, du fait d’une obstruction de certains ayants-droits.

Face à cette situation, le Notaire s’est rapproché du Tribunal aux fins de faire constater la mésentente entre les ayants-droits. C’est ainsi, par la suite que le Tribunal de Grande Instance a ordonné un partage judicaire.

Partage attaqué par voie judiciaire du vivant de Madame Marie BONGOTHA née MATALA, et pour lequel une décision de justice en date du 22 juin 2011 n’a mis en évidence aucun élément pouvant remettre en cause l’homologation.

Cette décision de justice stipulait également qu’elle ne pouvait plus être remise en cause.

Il s’en est suivi, suite au partage judiciaire que tous les biens immeubles au nom de Feu Monsieur Fulbert BONGOTHA ont été mutés et attribués aux copartageants.

Maitre Jean-Louis Bertrand ANGUILE affirme n’avoir jamais établi d’actes de ventes concernant ladite succession et est à même de faire la démonstration de la conformité des actes posés et sa rigueur de gestion dans ce dossier.

En conclusion, si troubles persistent, en termes même de menaces de mort, le Notaire se réserve le droit d’ester en justice, afin que nul n’en ignore.

Casimir Mapiya

« Mieux vaut une vérité qui fait mal, qu'un mensonge qui réjouit. » Proverbes berbères

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Un commentaire

  1. Vraiment Me ANGUILE a du mal a respecter la loi….

    22 SEPTEMBRE 2016 – N°317 Bis JOURNAL OFFICIEL DE LA REPUBLIQUE GABONAISE
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