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Piaepal : livraison effective du Château d’Eau de Ntoum

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Le Sous-programme intégré pour l’alimentation en eau potable et assainissement de Libreville (PIAEPAL) qui vise à améliorer l’approvisionnement en eau potable des populations du Grand Libreville atteint progressivement les objectifs fixés dans le cahier de charge. La preuve avec la livraison ce 31 juillet 2024 par l’entreprise Conduril du château d’eau de Ntoum.

C’est conformément aux engagements pris il y a quelques semaines par l’entreprise Conduril, qu’une délégation de l’Unité de coordination du projet du Programme intégré pour l’alimentation en eau potable et l’assainissement de Libreville (Piaepal), conduite par son Coordonnateur, Gervais Nguema Mba est allée constater la fin effective des travaux du Château d’Eau de Ntoum. Une étape importante inscrite au cahier de charge, qui permettra aux parties de relever d’éventuelles « petites améliorations à apporter à l’ouvrage ».  

Plus que quelques réglages en collaboration avec la SEEG 

 L’ouvrage de 1 500 mètres cubes bâti sur une surface constructible de 37 mètres est entièrement réalisé en béton armé. Érigé en face de la Préfecture de Ntoum, ce château d’eau haut de 20 mètres favorisera entre autres, une diminution des fuites d’eau sur la conduite d’eau DN450F, permettra de maintenir la desserte pendant 3 heures environs en cas de panne à l’usine de traitement d’eau potable de Ntoum 3 et 4, augmentera le volume d’eau sur la conduite existante DN 800 FD en direction des réservoirs de stockage du PK5. 


C’est donc en présence de l’Unité de coordination que l’entreprise Conduril a affirmé devant la presse la fin effective des travaux. « Aujourd’hui nous sommes ici pour constater l’achèvement des travaux tel que prévu dans le cahier de charge », a indiqué Antoine Diallo, Chef de mission Conduril. Si le technicien a assuré que la phase des tests est presque déjà atteinte, il a toutefois assuré que la prochaine étape consistera à « ouvrir les vannes avec la SEEG, afin de réaliser les réglages nécessaires sans que cela n’engendre d’incidence sur les populations ».  Rappelons que ce chantier entamé en mars 2021 a connu quelques retards dû notamment à la nature du sol, qui a nécessité la construction préalable de « 72 pieux d’une profondeur de 12 mètres afin d’assurer la stabilité de l’ouvrage ».

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