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Gabon : Droit de réponse de Blaise Jean Joseph Migolet

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Droit de réponse à l’article intitulé « Gabon: paralysée et menacée d’expulsion, Agnès Pandy appelle Zita Oligui Nguéma à l’aide!», signé d’Esther Kengue et mis en ligne par Gabon Media Time.

A l’article cité à l’objet, la mémoire de mon père Jean Stanislas Migolet et mon honneur ont été inconsidérément et gravement diffamés en dehors de toute éthique ou professionnalismes journalistiques.

J’y apporte les quelques corrections suivantes :

  1. Agnès Pandy n’a jamais été héritière de la succession Gabriel Pandy. Celle-ci revint en totalité et uniquement à Eugène Milingout Mangaka, comme le rapporte le jugement d’hérédité communiqué en 1998 par son Avocat Akumbu M’Oluna, engageant contre la succession Migolet une procédure judiciaire aux fins d’indemnisation, restitution de sommes, de biens immobiliers et parcelles de terrain. Cette procédure a abouti le 27 octobre 2004 à une décision de justice favorable à la succession Migolet. Malheureusement et étrangement I’expédition de l’instrumentum lui est arbitrairement refusée, depuis plus de 20 ans, par les réseaux de dysfonctionnement du Tribunal de 1ère Instance de Libreville proches du greffier Patrice Oboungou ayant tenu le plumitif à cette audience de lecture. Eugène Milingout, décédé en 2008, eut donc connaissance du débouté de son action judiciaire, prononcé le 27 octobre 2004.
  1. En 1964, Jean Stanislas Migolet n’hérita pas de Gabriel Pandy. Non seulement pour la raison susmentionnée ; mais encore en raison de l’inexistence d’un lien de parenté reconnu, pour ce faire, par la loi, la Justice ou encore la coutume Nzebi, de surcroît matriarcale.
  1. La présence comme la construction d’Agnès Pandy sur la parcelle 1L ne datent pas de 1955. Elles datent de 1993 consécutivement à la voie de fait d’Eugène Milingout accaparant les parcelles concernées par le peuplement de ses véritables parents. Ce, en violation des décisions de justice annulant celles des faux conseils de famille Migolet organisés par Eugène Milingout et ses complices, à l’effet de se faire attribuer les biens de la véritable famille Migolet ; ordonnant à Agnès Pandy l’arrêt des travaux détruisant les canalisations septiques et sous-bassement du bâtiment SS+RDC+2 ; etc. Donc Agnès Pandy ment sinon comment explique-t-elle qu’un certain M’Bah Léopold, suivant sa demande du 18 octobre 1966, fut permis de construire sur la parcelle 1L par autorisation de la Mairie et du Cadastre ?
  1. Les documentations cadastrales et foncières des parcelles 1L et 201 KB datent respectivement d’au moins 1969 et de 1976 au plus. A ces années là, Blaise Migolet est mineur donc en incapacité juridique. L’invraisemblable accusation de falsification de documents desdites parcelles, révèle son caractère diffamatoire. 

Blaise Jean Joseph Migolet

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