Référendum 2024 : Une vingtaine d’observateurs retenus pour superviser le scrutin
Alors que le Gabon s’apprête à organiser son référendum constitutionnel ce samedi 16 novembre, les autorités de la Transition ont validé la présence d’une vingtaine d’observateurs nationaux et internationaux. Parmi plus de cinquante demandes reçues par le ministère de l’Intérieur, seules la moitié ont été retenues, selon les déclarations du ministre Hermann Immongault à l’issue d’une audition à la Cour constitutionnelle, rapporte Gabonreview.
Parmi les observateurs présents figure l’Union européenne, première entité internationale à avoir été officiellement accréditée. Toutefois, l’ambassadrice de l’UE au Gabon, Cécile Abadie, a tenu à clarifier la nature de cette mission, soulignant qu’il ne s’agira pas d’une observation à grande échelle couvrant tout le territoire national. « Il s’agit d’un dispositif réduit, destiné principalement à examiner certains aspects techniques, juridiques et organisationnels du scrutin », a-t-elle précisé, ajoutant que cette mission permettra de nourrir le dialogue en cours entre l’Union européenne et le Gabon.
Des critères rigoureux pour une observation ciblée
Cette sélection restreinte répond à l’objectif affiché par les autorités gabonaises de garantir un processus transparent tout en optimisant l’efficacité des observateurs. En limitant le nombre d’accréditations, le ministère de l’Intérieur vise à concentrer les ressources sur des observateurs spécialisés capables de fournir des analyses ciblées et objectives sur le déroulement du scrutin.
Ce choix, bien qu’inédit, traduit la volonté des autorités de la Transition de s’entourer d’un regard externe et critique, tout en s’assurant que cette observation reste conforme à la souveraineté du pays. Les missions d’observation sélectionnées se focaliseront sur des points précis du processus électoral, une démarche qui pourrait permettre de renforcer la crédibilité du scrutin tout en respectant les limites logistiques et sécuritaires imposées par le contexte actuel.
La présence de ces observateurs est donc un gage d’engagement vers une consultation transparente et libre, un test pour l’intégrité du processus démocratique que la Transition s’efforce de construire dans cette phase décisive pour l’avenir institutionnel du Gabon.
Alors que le Gabon s’apprête à organiser son référendum constitutionnel ce samedi 16 novembre, les autorités de la Transition ont validé la présence d’une vingtaine d’observateurs nationaux et internationaux. Parmi plus de cinquante demandes reçues par le ministère de l’Intérieur, seules la moitié ont été retenues, selon les déclarations du ministre Hermann Immongault à l’issue d’une audition à la Cour constitutionnelle, rapporte Gabonreview.
Parmi les observateurs présents figure l’Union européenne, première entité internationale à avoir été officiellement accréditée. Toutefois, l’ambassadrice de l’UE au Gabon, Cécile Abadie, a tenu à clarifier la nature de cette mission, soulignant qu’il ne s’agira pas d’une observation à grande échelle couvrant tout le territoire national. « Il s’agit d’un dispositif réduit, destiné principalement à examiner certains aspects techniques, juridiques et organisationnels du scrutin », a-t-elle précisé, ajoutant que cette mission permettra de nourrir le dialogue en cours entre l’Union européenne et le Gabon.
Des critères rigoureux pour une observation ciblée
Cette sélection restreinte répond à l’objectif affiché par les autorités gabonaises de garantir un processus transparent tout en optimisant l’efficacité des observateurs. En limitant le nombre d’accréditations, le ministère de l’Intérieur vise à concentrer les ressources sur des observateurs spécialisés capables de fournir des analyses ciblées et objectives sur le déroulement du scrutin.
Ce choix, bien qu’inédit, traduit la volonté des autorités de la Transition de s’entourer d’un regard externe et critique, tout en s’assurant que cette observation reste conforme à la souveraineté du pays. Les missions d’observation sélectionnées se focaliseront sur des points précis du processus électoral, une démarche qui pourrait permettre de renforcer la crédibilité du scrutin tout en respectant les limites logistiques et sécuritaires imposées par le contexte actuel.
La présence de ces observateurs est donc un gage d’engagement vers une consultation transparente et libre, un test pour l’intégrité du processus démocratique que la Transition s’efforce de construire dans cette phase décisive pour l’avenir institutionnel du Gabon.