Libreville : réhabilitation de l’axe Alalango-Derrière la prison
Le président de la transition, le Général de Brigade a lancé à travers le Grand Libreville, les travaux de réhabilitation de bon nombres de voies secondaires. C’est le cas de l’axe Alalango-Derrière la prison où une équipe de Gabon Media Time a constaté ce mercredi 30 octobre 2024 l’état d’avancement très avancé de cette route qui suscite beaucoup de joie pour les riverains de ce quartier.
La restauration des infrastructures routières se poursuit dans le Grand Libreville. Ici au quartier dit derrière l’École normale supérieure encore appelé derrière l’ENS, la voie allant d’Alalango à Derrière la prison est désormais praticable. Un constat fait au cours d’une descente sur le terrain où les travaux de réhabilitation de la voie secondaire sont belle est bien entamés rendant praticable cette route au grand bonheur des riverains mais également des automobilistes.
Enfin une route praticable!
« Depuis longtemps nous avons attendu cette route. Et c’est une immense joie car nous pouvons désormais circuler en toute sérénité. Et ma maison est d’ailleurs sur la route, raison pour laquelle j’ai coopéré quand on m’a demandé de reculer de quelques mètres pour permettre que les travaux se déroulent bien » a confié un riverain. Preuve que l’ambition des plus hautes autorités de la transition de doter le pays des routes praticables en toutes saisons prend forme. Quand on sait l’importance pour une population d’avoir de bonnes routes, nulle doute que le bien-être des gabonais figure parmi les priorités du Général de Brigade Brice Clotaire Oligui Nguema.
Cependant si les travaux de l’axe Alalango-Derrière la prison vont bon train, il n’en demeure pas moins que la voie secondaire donnant au quartier dit derrière l’épicerie demeure impraticable en raison de sa détérioration avancée qu’a d’ailleurs déplorer un autre riverain.« Ici nous voyons bien que les travaux avancent et c’est très bien. Mais à l’épicerie c’est autre chose, rien n’est fait, un moment donné on voyait une société là puis plus rien. Nous souhaitons également que le CTRI fasse quelque chose ». Si d’aucun se questionne tout de même sur une certaine lenteur dans l’achèvement de ce chantier, il semblerait qu’elle serait consécutive à 4 familles qui à ce jour demeurent dans l’attente d’un dédommagement des autorités compétentes afin de libérer les lieux.