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Référendum 2024 : le MORAL appelle aussi à voter « Oui »

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Alors que le référendum constitutionnel du 16 novembre approche, le Mouvement Rationnel pour la Libération (MORAL), regroupant principalement des jeunes, a pris position en faveur du « Oui ». Séduit par les réformes prévues dans le texte, et en particulier par la suppression du poste de Premier ministre, le mouvement estime que cette constitution représente une avancée majeure pour le pays.

« Le Gabon, notre pays, traverse une période particulière depuis le 30 août 2023. Avec le Comité pour la transition et la restauration des institutions (CTRI) et son chef, le Général de Brigade Brice Clotaire Oligui Nguema, nous écrivons une nouvelle page de notre histoire », ont déclaré les membres du MORAL dans leur communiqué. Pour le mouvement, cette période de transition est une opportunité de restructurer les institutions du pays et d’instaurer des bases solides pour la gouvernance future.

Un député engagé pour la jeunesse

Le MORAL souligne par ailleurs la présence d’un de ses membres au sein de l’Assemblée nationale, le député Lionel Ella Engouang, qui représente la jeunesse et incarne les aspirations de renouveau au sein de la plateforme de la Transition. « Ne pouvant pas rester neutre et silencieux en cette période fatidique de notre histoire, le MORAL tient à dire qu’il votera Oui lors du référendum constitutionnel de samedi prochain », a ajouté le mouvement.

Pour le MORAL, soutenir le « Oui » est un acte de foi en une révision constitutionnelle qui, selon eux, renforcera la stabilité institutionnelle du Gabon en supprimant des postes jugés obsolètes et en simplifiant le système de gouvernance. À travers cette prise de position, le mouvement de jeunes espère inspirer une large mobilisation en faveur de ce projet de constitution, qu’ils considèrent comme un levier de développement pour le pays.

Andy Marvine Nze

Fils de Lambaréné, passionné d'écriture et féru des réseaux sociaux, qui a à cœur d'informer sur l'actualité gabonaise et internationale. Avant j'étais chef de classe, maintenant je suis titulaire d'un Master en Sciences Politiques et relations internationales

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