Présidentielle 2025 : Bitsutsu-Gielessen salue la maturité démocratique des électeurs du Grand Libreville

En ce samedi 12 avril 2025, jour décisif pour la nation, les électeurs gabonais se sont massivement mobilisés pour exprimer leur choix dans le cadre de l’élection présidentielle. À Libreville, au lycée public Jean Hilaire Obame de Nzeng-Ayong, dans le 6e arrondissement, Guillou Bitsutsu-Gielessen, président du Mouvement Priorités Citoyennes (MPC), a tenu à accomplir son devoir civique. Une démarche qu’il a voulu exemplaire, empreinte de civisme et de foi en la République.

« Je viens d’exercer la parcelle de pouvoir que me procure le droit de vote. Vive le peuple gabonais souverain et libre. Que Dieu bénisse le Gabon », a-t-il déclaré avec solennité. Pour celui qui milite depuis des années pour une citoyenneté active et consciente, ce geste n’est pas un acte banal, mais un symbole de la souveraineté populaire et de la maturité d’un peuple en quête de renouveau.

Une affluence qui déjoue les pronostics d’abstention

À la mi-journée, les premiers constats laissaient entrevoir une tendance claire : les électeurs du Grand Libreville se sont déplacés en nombre. Selon les informations recueillies sur le terrain, les 141 bureaux de vote de la capitale et de ses environs ont ouvert à 7h comme prévu, et peu après midi, plusieurs d’entre eux affichaient une forte affluence.

« À ce rythme, les prévisions pessimistes de l’abstention ne seront plus qu’une mauvaise estimation », a salué Guillou Bitsutsu-Gielessen, qui voit dans cette dynamique une victoire du peuple sur la résignation. Il a d’ailleurs tenu à féliciter l’ensemble des citoyens mobilisés : « Bravo ! Bravo aux citoyens que vous êtes, bravo d’exercer cette parcelle de pouvoir que vous procure le droit de vote. »

Un appel à la conscience civique au cœur du message du MPC

Connu pour ses prises de position sans fard et son engagement en faveur de la démocratie participative, Guillou Bitsutsu-Gielessen place cet acte électoral dans une logique de réappropriation du destin collectif par les Gabonais eux-mêmes. « Ce 12 avril est une leçon d’espérance. Il appartient désormais au peuple de peser, de choisir, et de tracer la voie d’un avenir digne », a-t-il insisté en marge de son vote.

En cette journée cruciale, son geste et son message résonnent comme un appel à la vigilance citoyenne et à la mobilisation permanente pour un Gabon réconcilié avec lui-même.