Présidentielle 2025 : à Lalala, Bilie-By-Nze poursuit ses causeries citoyennes et promet la rupture

Engagé dans une campagne de proximité et de dialogue direct avec les Gabonais, le candidat Alain Claude Bilie-By-Nze a poursuivi ce mercredi 02 avril sa tournée des quartiers populaires de Libreville. Après Bel-Air et Nombakelélé, c’est au tour de Lalala, dans le 5e arrondissement, d’accueillir l’ancien Premier ministre, dans un format de causerie citoyenne particulièrement apprécié par les habitants. Une démarche qui se veut « respectueuse, sincère et inclusive », selon l’équipe de campagne.

Face à une population composée majoritairement de jeunes, de femmes et de cadres locaux, Bili-By-Nze a écouté les préoccupations exprimées : chômage, accès aux soins, insécurité, inégalités dans l’éducation. « Nous voulons des dirigeants qui viennent nous parler les yeux dans les yeux, pas des discours de balcon », a lancé Alain Ntsame, un jeune enseignant. Le candidat, lui, a martelé sa volonté de rompre avec « les pratiques d’un passé clientéliste et déconnecté des réalités du terrain ».

Une rupture avec l’ancien système et un projet tourné vers l’humain

Durant ces échanges, Alain Claude Bilie By Nze a mis l’accent sur les axes forts de son programme, notamment en matière de jeunesse et de gouvernance. Il a réitéré sa promesse d’instaurer un Contrat Minimum Jeunesse et de réformer l’éducation à travers la construction d’écoles modernes et la revalorisation des enseignants. « Le Gabon ne pourra changer que si nous investissons dans son capital humain », a-t-il déclaré.

Loin des grandes messes politiques, le candidat joue la carte de la proximité pour tisser une relation directe avec les électeurs. « L’accueil à Lalala, comme à Bel-Air ou Nombakelélé, montre que les Gabonais sont prêts pour une nouvelle façon de faire de la politique », a-t-il confié à la presse locale. Une méthode qui semble porter ses fruits tant les soutiens se multiplient.Déterminé à incarner un changement crédible, Bilie By Nze poursuit sa campagne avec constance, convaincu que « c’est au cœur des quartiers que se bâtira le Gabon de demain ». À Lalala, la mobilisation populaire aura été un signal fort en ce sens.