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Mouila : le présumé meurtrier d’une fille de 19 ans aux arrêts

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Il n’aura fallu moins de 72 pour que les les éléments de la direction générale de recherches (DGR) mettent la main sur le présumé meurtrier de la jeune Fanny Mangue Nguimbi, élève au lycée Jean-Jacques Boucavel de Mouila chef-lieu de la province de la Ngounié. Selon, le quotidien L’Union c’est un homme de nationalité gabonaise qui serait à l’origine de ce crime crapuleux. 

En effet, le présumé meurtrier serait un homme de nationalité gabonaise qui séjournait depuis près d’un mois dans la capitale provinciale de la Ngounié, en provenance de Port-Gentil. D’après les premiers éléments de l’enquête, le jour du drame, le meurtrier partageait un pot avec des amis non loin du quartier Makanda, non loin  du motel dans lequel il résidait. 

Au cours de ce moment de détente très arrosé, il va apercevoir la victime qu’il va inviter à sa table. Quelques minutes après ce moment de réjouissance, le jeune homme va demander à l’élève de 18 ans de rentrer avec lui pour y passer la nuit. Cette dernière aurait donné son accord avant de changer d’avis, relate L’Union.

Après cette fin de non recevoir, le présumer criminel serait rentré dans une colère noire avant de brutaliser la jeune fille. Il va réussir à la maîtriser et à l’emmener jusqu’à sa chambre d’hôtel, rapporte plusieurs sources proches des services du procureur de Mouila. Par la suite, il aurait ligoté la victime avant d’abuser d’elle à plusieurs reprises.

 
Durant l’acte il aurait étranglé sa victime, cette dernière aurait par la suite rendu l’âme. En panique, le meurtrier va se débarrasser du corps sans vie dans la broussaille à quelques mètres du motel dans lequel il logeait. Il va, par la suite, tenter de quitter la ville. Malheureusement pour lui, les éléments de la DGR vont rapidement boucler la capitale provinciale et remonter jusqu’à lui. Le présumé meurtrier de la jeune lycéenne violée a été présenté devant le procureur de la République près le tribunal de première instance de Mouila.

Casimir Mapiya

« Mieux vaut une vérité qui fait mal, qu'un mensonge qui réjouit. » Proverbes berbères

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