Gabon : ces épaves roulantes qui pullulent sur le marché
Quand les voitures d’occasion deviennent des cercueils ambulants. En 2016 déjà, dans un pavé virulent, le journal Le Point s’indignaient de la multiplicité et de la prolifération de ce type de véhicule sur le marché français. Des voitures gravement accidentées, bonnes pour la casse, réparées par des garagistes malhonnêtes et remises en circulation dans la foulée par des soi-disant experts attirés par l’appât du gain. Au Gabon, face à l’incrédulité des autorités, plusieurs concessionnaires ont repris cette méthode véreuse. Une escroquerie savamment orchestrée qui concerne aujourd’hui des milliers de véhicules et pourrait causer d’importants dégâts matériels.
Si l’on assiste de plus en plus à des cas de véhicules qui prennent feu en lien avec des défauts mécaniques et autres défauts électriques, c’est en grande partie du fait de l’absence de suivi et de contrôle des véhicules qui entrent sur le territoire national. Pourtant, depuis quelques années on assiste à un phénomène grandissant : l’arrivée sur le marché d’épaves achetées à vil prix en Europe, aux Etats-Unis, à Dubaï, en Corée du Sud ou en Chine, les principaux pays d’achats de véhicules à destination du Gabon. Arrivées accidentées, châssis partiellement ou totalement accidentés, ces véhicules pullulent sur le marché sous des formes attirantes pour appâter les potentiels acheteurs, or, épaves roulantes elles sont.
Vendus à prix d’or par des concessionnaires sans scrupules, ces cercueils roulants mettent en danger la vie des automobilistes. Une équipe de Gabon Media Time a d’ailleurs mené une enquête ayant abouti au témoignage d’une automobiliste. Il y a quelques mois à Libreville, Sarah de son prénom, quelques semaines seulement après l’acquisition d’un véhicule de type KIA Sportage édition 2023, a failli passer de vie à trépas sur la nationale 1. En cause, le châssis non entièrement réparé et le filtre canister endommagé du véhicule, pourtant présenté comme quasi neuf par le revendeur. Un sujet Libanais parmi les nombreux qui ont pignon sur rue dans la capitale gabonaise et dans les autres grandes villes du pays.
« Une sortie de route qui aurait pu me coûter la vie, heureusement que je ne roulais pas à grande vitesse »
Disposant d’un statut extrêmement flou entre garagiste et concessionnaire, non tenu de divulguer des informations précises sur le statut réel des véhicules mis à disposition de leurs clients contrairement aux concessionnaires agréés, ces revendeurs mettent allégrement la vie des gabonais en danger en se remplissant les poches au passage. Pour Sarah à qui cette « sortie de route aurait pû coûter la vie, n’eut été le fait qu’elle ne roulait pas à grande vitesse », cette situation accentue les risques sur la route, sachant que dans le même temps, l’éclairage public fait défaut, certains axes sont de plus en plus accidentogènes avec l’absence ou la dégradation de glissières qui favorisent les accidents de circulation et des contrôles techniques bâclés. Un fait qui a conduit Sarah à engager de grosses dépenses sur ce véhicule pour réparer le châssis, alors qu’il avait été acheté plus de 20 millions de FCFA.
De bon pour la casse à la vente, une preuve de plus que les contrôles techniques sont défaillants
Confirmant les défaillances du contrôle technique à l’échelle nationale, la porosité des barrières douanières qui doivent pourtant accentuer les contrôles visant à sécuriser les populations, l’entrée de ces véhicules bon pour la casse sur le marché après quelques réparations sommaires, interrogent sur le rôle des administrations concernées. Entretenu, alors que l’entrée des véhicules chinois sur le marché à des prix moins importants, ce phénomène dénote d’une absence de considération de la sécurité des populations, par les agents de l’Etat, malheureusement attirés par l’appât du gain. En attendant, ces garagistes-revendeurs s’en mettent plein les poches en leurrant d’honnêtes citoyens, face à la cherté des prix du neuf, en lien avec des tarifs douaniers exorbitants.
Mes salutations à tous les eugabonais, ainsi qu’à tous les hommes de la Terre, que la Paix, l’Amour et la Lumière de celui qui m’a envoyé, “UN*” l’Eternel-Créateur “Ndzâhmbé-Kâahna” le Dieu-Créateur; soient sur vous, en vous et avec vous, sur la Terre comme aux Cieux, car en vérité, je vous le dis en vérité, “Tout est Accompli” pour la Fin de ce Monde et le jugement dernier des “Vivants-mortels” en instance de mort, et des “Morts-vivants” en instance de vie, comme prédit dès le commencement par celui qui m’a envoyé, et les choses annoncées qui n’avaient pas encore été faites sont accompli: Le Messie Dieu-Vivant, “Dieu-Oméga en son Fils Dieu-Alpha” himsel est sur Terre, en Afrique et au Sanctuaire terrestre de son Père, le GABON kouhma-nà-kouhma en question, le “territoire bénit de Dieu sur Terre” et souillé du sang de l’homme nec plus ultra comme jamais par l’homme, à qui il n’a jamais donné le droit de faire de son Sanctuaire-Gabon, tout ce qui a été fait, se fait et se fera encore, pour preuve, le “Crime-rituel” perpétré à Makokou sur un vieillard qui n’attendait que son dernier jour pour repartir d’où vient l’homme. UN et tous ses Enfants Dieux de l’Univercosme attendent que JUSTICE soit rendu par les hommes, pour ses “Assassinats Crimes-rituels gabonosidaires sataniques” à la recherche des “honneurs éphémères”, de la “gloire-des-ténèbres” et du “dieu-argent”, la communion de Satan qui aura perdu plus des 3/4 des hommes de ce Monde infernal injuste. Mais combien, parmi les commanditaires, exécutants et bénéficiaires connaissent “en vérité le Sanctuaire-Gabon”? Qui n’a pas compris la mise en garde de Dieu à travers Omar Bongo Ondimba, “… Dieu ne nous a pas donné le droit de faire du Gabon ce que nous sommes entrain de faire…” ? Mais cet avertissement ne concernait pas uniquement les dirigeants du Gabon, mais tous les dirigeants de la Terre, les “crimes-rituels” en Afrique sont légions, ainsi que les “Albinoscides*”, tout cela rien que pour la “Communion de Satan l’Haschatân” devenue “dieu-argent” pour les hommes, quasiment tous les hommes de la Terre, de telle sorte que pour lui dieu-argent, en parlant d’abord de moi-même eugabonais, les eugabonais et pseudo-gabonais sacrifient Père, Mère, Epouse/Epoux, enfants, frères, soeurs, neveux, nièces, oncle, ami(e)s, collègues, maitres, bienfaiteurs (à cause de notre gabonasserie excéssive*). En vérité, je vous le dis en vérité, l’Argent est le plus grand “Âmectomisant*” (désâmer*: extraire l’âme) du Monde des ténèbres anthropocénique, mais il est temps pour “MWA” d’accomplir la mission pour laquelle UN le Dieu-Créateur m’a envoyé avec son Fils Messie qui est NOIR comme “MOI”, et “euprotogabonais” comme Moi. En cela je viens préparer sa venue et son entrée en action pour la Purification de la Terre, qui commencera par le GABON, Sanctuaire de UN (DIEU) sur Terre. Hélas souillé par l’homme par les assassinats et crimes-rituels impuni, voici venu le temps du “Jugement dernier en dernier ressort sans appel”, le “Jugement dernier en première instance susceptible de recours en appel auprès de UN (DIEU) himself étant dors et déjà PRONONCE. Il aurait pu être publier depuis au moins 5 ans, malheureusement, la guerre, les combats, les tentatives de meurtre et les persecutions que me livrent les forces-humanoidomorphes des ténèbres, au premier rang desquelles la “Horde à Assongo Léonard-Obiang Ndong Guy Patrick” qui depuis 2010 persécute UN (DIEU) à travers moi, font tout pour que je n’accomplisse pas la mission pour laquelle IL m’a envoyé avec son Fils. Je sais que ceci ne sera pas facile à croire ni à comprendre, mais comme il est écrit aux Cieux dans le “Livre-Lumière”: “à la fin des temps, tpute vérité sera faite sur la Terre comme aux Cieux”, voici venu la Lumière de Vérité avec la CONNAISCIENCE. Ita est. Ita Diis placuit. Alea jacta est. Acta est fabula. Intelligenti pauca. Qui habet aures audiendi, audiat. sapiens nihil affirmat quod non probet. Felix qui potuit rerum cognoscere causas. Deo gratias. Dominus vobiscum et ce, jusqu’à la FIN du règne des ténèbres. “Lucigene Princ-des-Lumières”.