France : Emma’a en première partie de Tems à l’Olympia
C’est par le biais d’une publication sur ces différents réseaux sociaux que la chanteuse à la voix suave a annoncé la nouvelle le jeudi 13 juin 2024. En effet, Emma’a fera l’avant première du spectacle de l’artiste nigériane Tems à l’Olympia le samedi 15 juin 2024 à partir de 19 heures.
Depuis la sortie de son premier titre Emma’a enchaîne les succès. Entre ses nombreuses collaborations avec des artistes locaux et internationaux, la jeune fille est déterminée à se frayer un chemin parmi les meilleurs de la chanson sur le continent. Alors qu’elle apprête la sortie de son nouveau titre « Menteur » en featuring avec la chanteuse française Ronisia. Celle qui a été primée au Primud 2023 à Abidjan en Côte d’Ivoire a annoncé qu’elle fera la première partie du concert Tems à France. Un show qui est le début d’un world tour pour la promotion du nouvel album de l’auteur du titre « Try me ».
Emma’a, une étoile montante
C’est en tout cas ce que l’on pourrait souligner au regard de la direction que prend la carrière de la jeune Emma’a. Il faut dire que faire la première partie du concert de Tems à l’Olympia est assurément une mise en lumière de son incontestable talent. Ça permettra à la chanteuse de se faire connaître par le public anglophone. Et de faire une fois de plus ses preuves sur scène. C’est donc une première pour la jeune femme qui ne s’était pas encore produite dans ce type de salle.
Elle précède ainsi ses aînés. Notamment Benjamin Epps, Vicky R, Patience Dabany, Annie Flore Batchiellilys, le Petit Mayombo qui se sont déjà produit à l’Olympia. La nouvelle a été bien accueillie par la fanbase d’Emma’a qui n’a de cesse de la féliciter. « Elle connaît la musique et la musique lui donne donne le respect qu’elle mérite, ce n’est que le début tu iras encore plus loin ». Il est clair que la première partie du World Tour de Tems à L’Olympia s’annonce très caliente.
Un événement qui remet au goût du jour la question de la valorisation de la culture au Gabon. Aujourd’hui les artistes gabonais se battent sans relâche pour faire briller le pays et faire retentir l’hymne nationale sur les scènes étrangères. Alors que du côté du pouvoir, les mécanismes de promotion de l’art ne sont pas enclenchés. Espérons que les autorités se penchent sur cette problématique afin que les arts aussi atteignent la félicité.