Tik tok nocif pour les utilisateurs selon l’OMS
Depuis sa création en 2016 des milliers de personnes dans le monde s’arrachent l’application mobile de partage de courtes vidéos, et de réseautage social Tik Tok. Seulement cette addiction serait nocive selon l’étude Jeunes Activités Médias Enquêtes Suisse (James) de l’université de Zurich et Health Behavior in school-aged Children (HSBC).
L’avènement des réseaux sociaux semble avoir déconnecté certaines personnes du monde réel. C’est notamment le cas de certains utilisateurs qui en deviennent addicts et finissent par en être malades. Selon l’étude Jeunes Activités Médias Enquêtes Suisse (James) de l’université de Zurich et Health Behavior in school-aged Children (HSBC) en partenariat avec l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) les applications seraient nocives. Notamment Tik Tok.
Les utilisateurs de Tik Tok en danger
En effet, selon cette étude menée en 2022, environ 7% des jeunes de 11 à 15 ans font une utilisation problématique des réseaux sociaux. Ces personnes à travers le monde auraient des difficultés à se déconnecter, un manque de sommeil, négligence des devoirs scolaires et de la vie de famille. Des comportements qui auraient des conséquences psychologiques.
Car faut-il dire que la dépendance aux médias sociaux fait partie intégrante des addictions comportementales non liées à des substances. Les utilisateurs de cette application seraient donc exposés à des conditions de santé mentale mauvaises. Il s’agit d’anxiété, de stress, de dépression et même des problèmes d’attention. C’est donc un problème de santé publique qui se pose.
Et ce bien qu’il s’agisse que des utilisateurs addictifs les adolescents et adultes seraient quand néanmoins en danger. Il serait judicieux que les gouvernants et les parents régulent l’utilisation de cette application comme en République populaire de Chine. La version de TikTok en Chine restreint de son côté à 40 minutes le temps quotidien d’utilisation des adolescents. Une mesure salvatrice que pourrait mettre en place les autorités gabonaises afin de limiter les dégâts de cette application auprès des populations.