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Gabon: Olam, une décennie d’engagement en faveur de la conservation de la biodiversité

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Présent au Gabon depuis une décennie, le groupe Olam s’est érigé comme un partenaire de premier plan dans la politique de diversification de l’économie impulsée par les plus hautes autorités en tête desquelles le chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba. C’est d’ailleurs dans cette optique, que suivant l’ambition du pays en matière de conservation de la biodiversité, elle a adhéré aux standards de conservation les plus exigeants qui soient lors des études d’impact, notamment les normes de Hautes Valeurs de Conservation (HVC) et des Hauts stocks de Carbone (HCS).

Un engagement en faveur de la préservation de la biodiversité perceptible par la certification de son activité agro industrielle, notamment par la norme de développement durable pour le palmier à huile (RSPO) et la norme ISO pour l’hévéa. Ce qui résulte de cette approche est la protection de vastes espaces, pour la plupart forestiers, mais qui comprennent aussi des savanes et de grands réseaux de zones humides. 

Ainsi, selon le groupe Olam c’est 74 000 hectares de palmiers et d’hévéas qui ont été plantés sur des zones dégradées, et plus de 120 000 hectares de zones à forte valeur qui ont été protégées du braconnage et des activités illégales sur 7 sites au Gabon, en donnant toutefois accès aux  populations pour y mener leurs activités traditionnelles. « Au-delà de la grande surface protégée, qui excède la taille de certains parcs nationaux, la configuration de ces espaces permet la création de corridors qui jouent une fonction écologique très importante à l’échelle du paysage, permettant d’éviter la fragmentation des habitats, source d’appauvrissement floristique et faunique », indique le communiqué du groupe.

A noter que ces efforts sont rendus possibles grâce à son département Développement Durable qui coordonne le programme de conversation et emploie près de 50 Gabonais et Gabonaises dédiés à la surveillance et au monitoring de ces zones conservées. Les agents patrouillent mais aussi assurent le suivi de la faune. En outre, la création de plantations a permis d’assurer l’employabilité de plus de 10 000 personnes tout en prenant en compte l’environnement et les populations locales alliant ainsi  développement économique et conservation.

Henriette Lembet

Journaliste Le temps est une donnée fatale à laquelle rien ne résiste...

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