Gabon : Nadine Awanang pour un changement de mentalité envers le sexe faible
A l’occasion de la journée internationale pour l’élimination des violences faites aux femmes célébrée chaque 25 novembre de l’année, plusieurs activités ont été au cœur de cette célébration importante. Occasion pour le ministre des Affaires sociales Nadine Nathalie Awanang epouse Anato de rappeler à tous l’importance de changer de mentalité envers le sexe faible qu’est la femme, c’est ce que nous indique nos confrères nos confrères de Focus Groupe Media dans un article publié ce mercredi 26 novembre 2024.
Les violences faites aux femmes sont un phénomène réel dans notre société et qui dans bien des cas est à l’origine des déchirures dans plusieurs familles. A l’occasion de la célébration de la journée internationale pour l’élimination des violences faites aux femmes ce lundi 25 novembre 2024 sous le thème « Vers le 30e anniversaire de la déclaration et du programme d’action de Beijing : Tous unis pour mettre fin à la violence à l’égard des femmes », le ministre des Affaires sociales, Nadine Nathalie Awanang a tiré la sonnette d’alarme sur le traitement à l’endroit de la femme dans notre société.
Les femmes méritent une meilleure considération
C’est donc en vue de lutter efficacement contre ce fléau que le membre du gouvernement de transition a exhorté la communauté nationale à se mobiliser comme un seul homme pour promouvoir la protection de la gent féminine. Ainsi, Nadine Nathalie Awanang a mis un accent sur la sensibilisation et l’éducation pour instaurer un changement durable dans les comportements. Mais aussi sur l’intensification des campagnes nationales à l’instar de la campagne des 16 jours d’activisme contre la violence basée sur le genre.
Afin de montrer son implication, le ministère des Affaires sociales organise ce 28 novembre 2024, des journées portes ouvertes au centre d’accueil pour les victimes à Nzeng-Ayong dans le 6ème arrondissement de Libreville. Une initiative au cours de laquelle sera offerte des consultations juridiques gratuites et ce dans le but d’autonomiser les femmes victimes des violences à travers les connaissances juridiques nécessaires qui leur permettront de revendiquer leurs droits.