Gabon : l’ANBG désormais incapable de payer les bourses des étudiants à l’étranger ?
C’est la question qui taraude les esprits depuis plusieurs mois. En effet, de la Tunisie en France en passant par le Rwanda, les étudiantes et étudiants gabonais n’ont de cesse de dénoncer le non-paiement de leurs bourses, les plongeant dans une insécurité financière extrême. Une situation pour le moins incompréhensible qui interroge sur la capacité de l’Agence nationale des bourses du Gabon (ANBG) à assurer le paiement de ces allocations.
Depuis plusieurs mois, une vague de protestations émane des étudiants gabonais à l’étranger, lesquels réclament le versement de leurs bourses d’études. Beaucoup de ces compatriotes qui poursuivent leurs études aux quatre coins du globe ne parviennent plus à subvenir à leurs besoins au point d’avoir été expulsés de leurs logements. Mais que fait l’Agence nationale des bourses du Gabon (ANBG) ? Serait-elle en incapacité d’accomplir sa mission ?
L’ANBG incapable d’assurer ses missions ?
Si les boursiers gabonais en Tunisie ont assiégé l’ambassade en raison des retards de paiement des allocations d’études, ils ne sont pas les seuls dans cette situation précaire. Ceux des États-Unis, du Rwanda et de la France seraient également victimes de ce défaut de virements. Les étudiants concernés déplorent non seulement les retards, mais également le manque de communication et de transparence de la part de l’ANBG quant à la situation financière et aux mesures prises pour remédier à ce problème.
Cette précarité dans laquelle est plongé le boursier gabonais interroge. Que se passe-t-il au sein de l’Agence nationale des bourses du Gabon ? Pourquoi ce mutisme ? Il est important que les autorités gabonaises examinent de près les causes profondes de cette crise, notamment en ce qui concerne la gestion des ressources financières allouées aux bourses d’études. Des réformes structurelles pourraient être nécessaires pour renforcer la gouvernance et la gestion financière de l’ANBG, garantissant ainsi sa capacité à remplir efficacement sa mission.
En attendant, les étudiants gabonais à l’étranger demeurent dans l’incertitude quant à leur avenir académique et financier. Leur appel à l’action est clair : ils exigent des réponses concrètes et des mesures immédiates pour résoudre cette crise et leur permettre de poursuivre leurs études dans des conditions dignes et propices à leur réussite. Selon le quotidien L’Union, ceux de la France prévoiraient un mouvement d’humeur. L’agence dirigée par le Pr Ruffin Ndjambou et les autorités gabonaises sont appelées à prendre les mesures nécessaires pour remédier à cette situation préoccupante.
Les nouvelles autorités sont préoccupés a s’enrichir et acheter des grosses maison, pourtant on nous parlait de la saisie des sommes colausso,
Il n’y a pas que les étudiants de la diaspora mais nous également au pays on souffre de celà. C’est pratiquement toute l’année écroulée sans allocution. De quelle allocution parle-t-on si c’est pas dans le cadre estudiantin? Les bourses viennent pendant que nous ne sommes plus en cours, nous sommes contraint de subir tout au long des cours. C’est vraiment triste
Que l’un des représentants de l’ ANBG se prononce dans les médias qu’il nous en dis l’origine de cette histoire et ce qu’il on prévu comme solution. Pourquoi ce silence ??