Gabon: la ZES de Nkok première zone industrielle certifiée neutre en carbone d’Afrique
C’est par le biais d’un communiqué parvenu à la rédaction de Gabon Media Time, que le cofondateur et PDG d’ARISE IIP, Gagan Gupta, a annoncé l’obtention de la certification ISO 14064-1 en neutralité carbone pour la Zone économique Spéciale du Gabon (GSEZ). Cette certification démontre les efforts de ladite zone à respecter son environnement et son action dans la Responsabilité sociétale des entreprises(RSE).
La ZES de Nkok qui compte en son sein pas moins de 85 entreprises se donne pour objectif quotidien de dynamiser tous les secteurs industriels au Gabon sans pour autant sacrifier le combat mondial contre les changements climatiques. Au cours des dernières années, ARISE IIP a élaboré une stratégie en matière de climat et biodiversité pour réduire son empreinte environnementale, investir dans des solutions à faible émission carbone et monétiser les services et les actifs environnementaux.
Des solutions pour un transport faible en carbone sont également en cours d’évaluation. Une multitude d’actions qui lui a valu d’obtenir la certification ISO 14064-1 en neutralité carbone. « GSEZ met en œuvre les meilleures pratiques et respecte les normes internationales les plus strictes pour atteindre son objectif d’industrialisation neutre en carbone. Cela fournit un cadre reproductible pour toutes les zones industrielles gérées par ARISE IIP et conduira à une transformation systémique et propre dans toute l’Afrique » a déclaré le cofondateur et PDG d’ARISE IIP, Gagan Gupta.
Des efforts également félicités par le gouvernement par l’entremise du ministre des Eaux et forêts Lee White. « Le Gabon a récemment adopté une loi sur le climat afin de garantir que notre pays conserve son positionnement positif en matière de carbone jusqu’en 2050 et au-delà. Nous sommes donc fiers d’avoir sur notre territoire la première zone industrielle en Afrique certifiée neutre en carbone par SGS. Cette réalisation s’aligne sur l’engagement de notre gouvernement à introduire des mécanismes structurés pour mesurer et freiner les émissions aux niveaux national et sectoriel » a-t-il déclaré.