Ndougou : le conseil départemental d’Etimboué offre un groupe électrogène
Dans le but de soutenir les populations de Ndoungou, chef-lieu de Gamba dans la province, l’Ogooué-Maritime, le Conseil départemental d’Étimboué (CDE) a fait don d’un groupe électrogène aux habitants le samedi 24 février. Une acquisition qui viendra soulager les populations de cette localité qui est confronté à plusieurs problèmes, c’est ce que rapporte le quotidien l’Union.
C’est à l’initiative du conseil départemental d’Etimboué, dans le département de Ndoungou dans la province de l’Ogooué maritime que le président du CDE, Evariste Nziengui a procédé à la remise de don d’un groupe électrogène destiné aux habitants de cette localité qui aura vocation d’alimenter le motel du Conseil départemental, l’école publique, le dispensaire et le bâtiment de la sous-préfecture. Des édifices importants du département de Ndougou-Centre.
Un groupe électrogène dernière génération pour les habitants de Ndougou
Ainsi, le groupe électrogène reçu de la part du Conseil départemental d’Etimboué possède une puissance de 60 KVA. Il pèse 1,165 tonne et mesure 5 mètres de long sur 2,25 m de large. « Cet appareil a été fabriqué selon une technologie de dernière génération. Il est composé d’un moteur suralimenté, son entretien doit être conforme aux normes du constructeur » a indiqué un technicien rencontré sur place.
Outre le fait que Ndougou-Centre sera alimenté, le Président du Conseil départemental d’Etimboué, Évariste Nziengui précise que les opérateurs économiques exerçant dans le secteur commercial dans la zone du débarcadère de Ndougou-Centre ainsi que les habitants auront la possibilité également de se connecter selon les conditions qui seront fixées. Afin de bien conserver cette dotation, le Président du CDE précise qu’une formation se fera ultérieurement pour le maintenancier, l’électricien et le mécanicien.
Il est important de préciser que le district de Ndougou, s’identifie comme le grenier agricole de l’Ogooué-Maritime. Cependant la difficulté des routes depuis longtemps complique le quotidien des cultivateurs. Gageons que les autorités trouveront une solution pour le bonheur des populations.
