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Libreville : un braqueur violeur interpellé

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Après 11 ans de prison, le dénommé Eric Mboumba âgé de 38 ans, est retombé dans ses travers. En effet, selon le récit de Info241, ce repris de justice a recommencé à abuser sexuellement des femmes, avant de dérober leurs biens. Des actions qui n’ont pas fait long car les agents de force de police ont une nouvelle fois procédé à l’interprétation de cet indélicat. 

Le débat autour de la question de l’insécurité au Gabon n’a pas encore fini de faire couler encre et salive. Une problématique à laquelle les forces de sécurité et de défense tentent de mettre fin. A cet effet, ces dernières ont procédé à l’arrestation d’un braqueur qui en dehors de l’acte d’agression abusait sexuellement de ses victimes. Il s’agit d’un dénommé Eric Mboumba ayant la trentaine revolu

De nouveau privé de liberté

En effet, le présumé violeur et braqueur dangereux a avec l’aide d’un complice encore en fuite, commis plusieurs méfaits. L’un de ses derniers crimes avait été commis sur une jeune fille près de l’échangeur du PK5. Cette dernière a remis les autorités judiciaires sur la piste de cet ancien repris de justice. Eric Mboumba opérait une fois la nuit tombée. L’indélicat attirait ses victimes dans des endroits moins éclairés afin de passer à ses basses besognes. Des actions qu’il posait après avoir déjà passé 11 ans en prison pour des faits similaires. 

Ce dernier vient de recevoir un nouvel aller simple pour la prison du Gros-Bouquet de Libreville. Rattrapé par la police, Eric Mboumba a reconnu les faits qui lui sont reprochés. Seulement ce dernier aurait affirmé que les victimes étaient consentantes. Une défense peu crédible qui n’a convaincu ni les enquêteurs ni le parquet de Libreville, qui ont fini par l’envoyer en prison. Il faut dire qu’en dehors des braquages dans la rue, le duo de malfrats s’introduisait également dans les domiciles pour violer les femmes surprises lors de leurs cambriolages.

Esther Kengue

Diplômée en Communication des organisations, l'écriture est une vocation que je mets au quotidien au profit de la rédaction de Gabon Media Time pour servir mon pays.

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