Grand Libreville : amorcer la résolution des bouchons par la mise en œuvre de la cartographie scolaire
Il ne passe pas une journée sans que les principales artères de la capitale gabonaise se trouvent engorgées, principalement aux heures de pointe. Une situation déplorable due en partie au sous investissement en matière d’infrastructures routières et au déficit en entretien des voiries publiques. Si des investissements lourds s’avèrent indispensables dans ce domaine, de nombreux compatriotes proposent en parallèle la mise en œuvre d’une carte scolaire.
Mettre en œuvre une carte scolaire, qui permette un rapprochement des élèves de leur lieu d’habitation. C’est une piste de solution parmi tant d’autres, portée par bon nombre de compatriotes, excédés par les retards au travail et autres conséquences liées aux bouchons dans la capitale. Lesquelles conséquences portent assurément un coup dur à l’économie du pays.
La carte scolaire, indispensable à l’amélioration du trafic
Si le trafic en agglomération est généralement fluide en période de vacances scolaires, il est en revanche plus difficile de circuler lorsque les plus jeunes reprennent le chemin de l’école. Et pour cause, certains parents se voient souvent contraints de parcourir des kilomètres en voiture, pour déposer leurs jeunes devant leurs établissements respectifs, avant de prendre ensuite le chemin du travail. Une situation aggravée par l’instauration de la journée continue, dans les secteurs privé et public.
En effet, depuis le décret N° 0028/PR/MEFPTFP du 29/01/2021 fixant les modalités de répartition journalière de la durée hebdomadaire du travail en République Gabonaise, les journées de travail débutent à 07h30. Un créneau qui coïncide avec celui des élèves, qui doivent répondre présents dès 08h00 pour la plupart. C’est pourquoi, certains compatriotes militent pour une adaptation de la carte scolaire aux problématiques du trafic. Toutefois, d’autres voix discordantes souhaitent que l’Etat fasse préalablement des efforts dans la qualité des enseignements dispensés, afin que tous les établissements disposent d’une bonne réputation.
… Mais non! Même avec un niveau C.E 2 , on sait tous que le soucis vient du manque d’urbanisation et viabilisation du pays. Seigneur! Donc c’est logique d’avoir une seule pseudo voie expresse dans toute une capitale? Et ça va meme jusqu’à oser dire que c est dû au calendrier Scolaire!!! vrai ! Donc vous aussi de la transition vous ne voulez non pas voir de belles voies bien goudronnées dans votre Gabon là?
Ekieeeee. On attend donc le retours du Christ prévu pour 999999 de l’an. En espérant meme que ce pays sera encore le nôtre.