Sénégal : un entrepreneur gabonais poussé à la faillite sur fond de xénophobie
Déjà échaudé pour des motifs fallacieux, le jeune entrepreneur gabonais installé au Sénégal est en proie à tout perdre. En effet, Gervais Ango aurait été poussé vers la sortie du marché local par le groupe sénégalais Sedima et ce, après avoir investi plus de 450 millions FCFA dans une entreprise d’élevage des poulets de chair.
« On est jamais mieux que chez soi ». Cet adage doit certainement trotté dans la tête de Gervais Ango. Ce jeune homme d’affaires gabonais à l’avenir radieux pourrait repartir à zéro suite des actes peu commodes orchestrés par des mains tapies dans l’ombre à Dakar.
L’ascension d’un jeune visionnaire
À l’instar d’autres entrepreneurs venus d’Afrique subsaharienne, Gervais Ango décide en 2015 de saisir les opportunités au Sénégal. Suite à un départ volontaire de de Total Marketing Gabon, le gabonais scrute le marché et se lance. Il cible l’élevage des poulets de chair. Un rêve d’enfant qui prend forme.
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Grâce à une stratégie de capitalisation poussée, il se fraie son chemin. En y injectant un peu plus de 450 millions FCFA. Les retombées sont immédiates. L’entreprise prend du volume. Au point de devenir un fleuron de l’économie dans ce secteur d’activité. Une réussite épiée de tous.
Une courbe descendante amorcée
Au nombre des persifleurs, le géant local Groupe Sedima de l’homme d’affaires Babacar N’gom. Anxieux quant à ses parts de marché amoindries, la patron sénégalais aurait activé ses réseaux pour mettre un terme à l’expansion de l’entrepreneur gabonais. Gervais Ango ne semble pas paré à la suite des évènements.
Puisqu’il poursuit sa quête de nouveaux clients. Il aurait fait face à un blocus des autorités locales à régulariser la situation de son entité. Une volonté malicieuse de le mettre en porte à faux avec la loi. De manière injustifiée il aurait menacé et fait l’objet de trafic d’influence. Les auteurs seraient des agents publics sénégalais.
Gervais Ango piégé par Sedima
C’est en tout cas ce que pensent plusieurs sources dakaroises. Lesquelles avancent que les représailles étaient prévisibles. Certains hauts fonctionnaires persuadés que le marché doit revenir aux nationaux. S’en serait suivie une déstabilisation savamment orchestrée. Gervais Ango pointait il y a un an « des abus de tous genres ».
On évoque en l’occurrence « la mise en bride de l’activité de production ». Ce qui a logiquement entraîné « la baisse des performances zootechniques et les surcoûts d’exploitation ». Dos au mur, et malgré les relances auprès des autorités gabonaises à Dakar, c’est le statu quo. Mal approvisionnée, retard de paiement, l’entreprise frise la faillite le 8 avril 2021. Un cocktail nocif qui aura eu raison du rêve à l’étranger d’un entrepreneur gabonais ambitieux.
Pendant qu’au Gabon des pseudo patriotes, tapis dans l’ombre de l’administration propulsent les leurs sans être inquiétés. Voici le rêve d’un jeune gabonais accablé par des vrais patriotes sénégalais.
J en doute fort. Le marché Sénégalais est ouvert à tous. Je doute de la véracité de cet article. Je vais faire des investigations et te promet de te revenir avec des éléments confirmés.
La xénophobie est une réalité au Sénégal. J’ai été au Sénégal entre 2007 et 2010 pour mes études, et j’ai fait le même constat
Je doute que tu aies jamais étudié au Sénégal. Ici dans tous les instituts et universités privés, la majorité des étudiants sont étrangers. Les etudiants Gabonais sont partout dans les universités publiques comme privées. Ils sont même des fois dans les lycées publics. Parler de xénophobie ici c’est vraiment de la malhonnêteté. Par rapport à leurs populations, le Sénégal et la Côte d’Ivoire sont les pays au monde où il y a le plus d’étrangers.
Comment s’appelle l’entreprise qu’il a créé
Pour quelqu’un d’aussi important il n’est pas connu sur internet et ça se dit concurrent de sedima, y a quelque que chose qui tourne pas rond
Ils sont partenaires, pas concurrent.
Bizarre.Inconnu au bataillon. Il y a la Cour de Justice et d’Arbitrage de l’Ohada à Abidjan,et celle de l’Uemoa à Abuja,pour la concurrence déloyale et les pratiques anticoncurrentielles des Etats,tous les vrais chefs d’entreprise y recourent tous les jours,mais lui, grand industriel, pleurniche auprès de ses autorités nationales et invoque un casus beli entre Etats au lieu de régler ses problèmes en vrai homme d’affaires.Eh Afrique….
C est bizarre peux tu fournir le nom de son entreprise. Comment une entreprise pesant 450 millions d invesstissement peut il gêner une entreprise au capital de 2 milliards ? Au point qu ils l éjectent du marché. Vérifie tes sources avant de balancer des insanités susceptibles de créer des problèmes étatiques. Le nom de sa société n est pas connue. Et la sedima travaille avec grands aviculteurs sur qui ils se reposent dans le marché BtoB.
C est décourageant de lire ce genre d articles, pffffffffffff.
E
Vous êtes pathétique hein, comme vous êtes ouest-africaine,vous refusez de croire et pourtant c’est vrai. Au lieu fustigé l’article,tu gagnerais en t’informant sur le sujet. Le monsieur a même porté plainte,mais quand les autorités du Sénégal ont écouté le nom ” Babacar Ngom” puissant homme d’affaires du Sénégal. Imaginez la suite.
C’est la première fois que j’entends parler de lui. S’il est si important pourquoi est il inconnu au Sénégal ? Vous voulez semer la zizanie dans quel but ? Il aurait laissé le marché à plus fort potentiel, le marché de l’Afrique Centrale pour le marché sénégalais ? Je veux voir pour y croire. Le marché sénégalais est très ouvert, il.n yva ici ni tribalisme, ni ethnicisme, Dieu merci. Mbolo.
Moi on m’a appris ceux ci : quand les gens parlent d’un sujet que tu ne connais pas ou que tu n’as aucune information. Tu te tais et tu t’informe si veux intervenir au risque de venir raconter des bêtises. Va d’abord t’informé avant de venir écrire. Nous au Gabon on est au courant de cette histoire depuis et on a même des vidéos. On attend que justice soit faite.
Si cela est vérifié ce serait vraiment dommage. Sachant bien combien de sénégalais sont venus au gabon depuis des décennies et ont réussi dans divers secteurs de l’economie.combien sont devenus des millionnaires voire des milliardaires sans être inquiètes. Pendant qu’au Sénégal on arrive pas à supporter un seul entrepreneur gabonais qui ne veut que réussir. C’est trop méchant, injuste et ingrat de ce pays qui se veut être panafricaniste dans les discours. Chers frères sénégalais réfléchissez par 2 fois svp ça ne vous honore pas. Et chapeau au gabon at aux gabonais qui laissent des milliers d’ ouest africains venir prospérer et aider leurs familles. Je suis vraiment désolé et dépité !!!!
Je suis un Africain du centre, installé au Sénégal depuis les années 2000, et j’ai une petite entreprise depuis 2011. C’est quoi le nom de l’entreprise et la marque de poulet de Monsieur Ango ?
Le manque de sérieux de cet article c’est son caractère précipité. Aucune des informations données n ’a été vérifiée puisque l’auteur reste dans la généralité :
– «blocus des autorités locales »(Municipales? Départementales ? Régionales ? Étatiques ?
– « les auteurs seraient des agents publics sénégalais » ( l’incertitude du mode conditionnel)
– « mal approvisionné »(En quoi ? En aliment de volaille : les quatre de la Sedima dans ce segment seraient heureux de lui damer le pion en approvisionnant cette entreprise)
– « retard de paiement » ( de l’Etat ou de particuliers ?)
Le manque de sérieux, c’est aussi d’avoir publié sur un espace aussi SÉRIEUX ,GMT, un article truffé de fautes.
Il existe au Sénégal cinq grands producteurs d’aliment de volaille qui se livrent une concurrence effrénée.
Clairement le but visé par cet article bidon qui sent l’amateurisme à des lieues et de créer la confusion dans l’esprit des Gabonais – un peuple à la réputation établie d’hospitalité – et pousser certains extrémistes à envisager d’éventuelles représailles.
L’individu présenté dans l’article n’est pas connu ici au Sénégal ; c’est tout de même curieux au regard de l’importance que l’article donne à la supposée entreprise de l’inconnu !
Vous refusez de croire à une histoire vraie qui s’est passé au Sénégal en 2020 et le comble c’est que ce monsieur n’a jamais été remboursé par Monsieur Ngom et madame Diawara les hauteurs de ce sabotage.Et c’est dommage pour toi,renseigne toi alors si tu n’es pas informé ça ne veux pas dire que l’histoire est fausse. Quand on est pas informé on se tais et on s’informe. Nous au Gabon on est au courant de ça depuis longtemps. Et on attend que justice sois faite.
Cet article est d’une dangerosité caractérisée tant dans sa légèreté, ses approximations qui convoquent une méconnaissance totale des réalités socio économiques du Sénégal. C’est extrêmement grave de laisser ce genre d’information prospérer dans le net. C’est malhonnête!
Les Senegalais ont pris en otage la distribution d airtel gabon et de gabon telecom …il n y a que les sengalais labas …les senegalais ont chasse les gabonais de la distribution des produits d airtel gabon et gabon telecom au gabon….aujourd hui , les senegalais vont chasser les gabonais de la soustraitance a la seeg….
Chaque chose à son temps et la nature à des lois qu’aucun Homme ne peux modifier quelque soit son argent. N’a t-il pas dit de rendre à César ce qui ait à César alors rendez aux Gabonais ceux qui est à eux sinon ils le reprendront comme le prévoit les lois de la nature par la manière que nous connaissons car l’histoire se répète génération après génération.
Ce n’est un secret pour personne que la majorite des gabonais ont une colère dans le voleur et n’attendent que le bon moment pour le sortir……le Rwanda….
Je suis sénégalais et c’est la première fois que j’entends parler de ce gars. Quant à SEDIMA c’est un grand groupe en quasi situation de monopole sur la marché de la volaille. Les sénégalais seraient plutôt tentés d’applaudir quiconque voudrait le concurrencer au contraire.
Bref beaucoup de fakenews sur le net
Menteur !!!xénophobie a dakar ???what the hell is this !a quoi voulez vous jouer !ce monsieur a eu un problème avec babacar Ngom et les sénégalais n’étaient même pas au courant et cette histoire date de plus de deux ans
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