SOCIETE

Rentrée scolaire : le COFENORG fait des heureux parmi les enfants défavorisés

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Offrir aux élèves des milieux défavorisés une opportunité d’aborder la rentrée scolaire avec sérénité. C’est l’objectif du Collectif des femmes pour la nouvelle république du Gabon (COFENORG), qui a organisé ce 05 octobre une cérémonie de remise de kits scolaires à une cinquantaine d’apprenants venant de Libreville, d’Akanda, d’Owendo et de Ntoum. 

C’est le centre social Benoît Messani qui a servi de cadre à la cérémonie de remise des kits scolaires à la cinquantaine de jeunes apprenants de la première année primaire au collège. Lesquels étaient accompagnés de leurs parents et ont reçu leurs cartables et fournitures scolaires des mains des membres du collectif, qui vient en aide aux plus nécessiteux à travers des actions concrètes. 

Le COFENORG en soutien aux actions du CTRI

Le Collectif des femmes pour la nouvelle république du Gabon, né au lendemain du coup de la libération entend, selon Carmela Ngayis, représent la présidente du collectif, Bertille Andeme empêchée, « appuyer l’action sociale menée par le président de la Transition, le général Brice Clotaire Oligui Nguema, à travers des actions concrètes auprès des publics vulnérables ». Ainsi, dans le cadre de cette sortie, ce sont plusieurs apprenants qui ont bénéficié de kits composés de cartables, mais aussi de cahiers et de livres. Un geste salué par les bénéficiaires. 


« En tant que mère avec à ma charge plusieurs enfants, ce geste est un véritable soulagement. Je ne peux que remercier ces bienfaitrices », nous a confié un parent de bénéficiaire venu de Ntoum. « Je suis heureux d’avoir reçu ces cahiers et ce sac. Je n’avais pas de cartable depuis la rentrée », a indiqué un bénéficiaire inscrit en 5ème année. Il faut dire que dans leurs critères de sélection des familles, les membres du collectif ont ciblé des publics dont les besoins sont réels. « Dans nos critères de sélection, nous avons privilégié des familles monoparentales, dont les enfants sont inscrits dans des établissements publics, mais également des enfants qui ont été inscrits dans des écoles privées faute de pouvoir trouver des établissements publics proches de leurs lieux d’habitation », a martelé Carmela Ngayis.

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