Libreville : vers la construction d’un parc d’attractions

Afin de mettre en place des initiatives pour valoriser la capitale politique et la rendre attractive, une rencontre s’est tenue ce jeudi 13 juin 2024 au Cabinet du délégué spécial adjoint en charge de la commune de Libreville Joseph Landry Mavoungou Ndong Biteghe et le groupe Gabon Énergies Renouvelables. Au menu des échanges, l’érection d’un parc d’attractions modernes dans ladite commune.

C’est en présence d’un groupe d’investisseurs conduit par le Directeur général du groupe Gabon Énergies Renouvelables, Vincent Asso’o, du responsable de l’entreprise française NP Development Nicolas Pagnier et des hauts cadres de l’administration gabonaise que le délégué spécial adjoint de Libreville a tenu cette audience ce 13 juin 2024. Il était question pour les parties prenantes de présenter le projet de création du futur parc de loisirs qui contribuera à rendre plus vivante la commune de Libreville qui a très souvent été critiquée pour son manque de divertissement. 

Vers la construction d’un parc d’attractions à Libreville ?

Il faut dire que Libreville est beaucoup plus réputée pour avoir des débits de boissons à chaque kilomètre. Ce qui n’est pas étonnant puisque le pays dans le classement des 10 pays qui consomment le plus d’alcool, le Gabon occupe la 7ème place. Ainsi, la construction d’un parc d’attractions viendra assurément diversifier les types de loisirs auxquels les Libreville prennent part. Mais surtout, cela rendra la capitale attractive conformément à la vision du Général Judes Ibrahim Rapontchombo tout en favorisant la création d’emplois. 

Au terme de cette rencontre importante, les réflexions étaient portées sur les différents sites qui pourront abriter ce projet. Gageons que toutes les politiques seront mises en place afin de permettre à toutes les couches de la population de profiter des loisirs qui seront offerts dans ce parc d’attractions moderne. Car ne nous méprenons pas, très souvent des projets de cette envergure ciblent une catégorie de personnes et cela ne favorise pas l’inclusion sociale.