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Libreville : l’axe rond-point échangeur de Nzeng ayong, un calvaire pour les riverains

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Du 1er au 31 de chaque mois, les populations du quartier Nzeng-Ayong dans le 6ème arrondissement de Libreville font face à des difficultés pour se mouvoir particulièrement les matins. Et pour cause, les embouteillages et le mauvais état du tronçon routier notamment sur l’axe rond-point-echangeur de Nzeng ayong est un véritable calvaire pour les riverains. 

En plein cœur de la capitale, le quartier Nzeng-ayong situé dans le 6ème arrondissement de Libreville est le plus grand de la commune. Avec ses multiples entrées et sorties, il est un carrefour pour les quartiers voisins et leurs habitants. Si d’aucuns pensent que cette affluence serait la cause du calvaire des riverains en matière de déplacement. Pour d’autres, le piteux état de la route serait une difficulté majeure pour les riverains. 

Les populations de Nzeng-Ayong excédées

Tous les matins les populations de ce quartier ont du mal à vaquer à leurs occupations quotidiennes. Particulièrement celles qui empruntent l’axe du rond-point échangeur de Nzeng ayong pour sortir du quartier. En effet, ces derniers font face aux embouteillages. Il faut dire que ces bouchons sont la résultante des mille creux qui existent sur cette voie.  

Au niveau de la buse située au rond-point, la chaussée est cassée et percée sur le côté droit, divisant de facto la voie en deux. A quelques mètres, l’on peut observer plusieurs crevasses voisines à benne à ordure. En période de  pluie, les riverains ont droit à une rivière agrémentée de déchets ménagers avec comme cerise sur le gâteau des odeurs nauséabondes. Non sans manquer les forces de police qui tous les matins essaient tant bien que mal de réguler la circulation. 


Une situation intenable pour les riverains qu’ils soient véhiculés ou à pied. Les transporteurs urbains ne voulant pas abîmer leurs voitures préfèrent fréquenter des voies moins dégradées et fuient l’embouteillage. Soulignons que plusieurs voies de ce quartier connaissent le même sort. Notamment celles du marché de Nzeng-Ayong, nouvelle cité, à la bifurcation avant l’échangeur pour ne citer que ceux-là. Espérons que le ministre des Travaux publics Flavien Nziengui Nzoundou prenne ses responsabilités.

Esther Kengue

Diplômée en Communication des organisations, l'écriture est une vocation que je mets au quotidien au profit de la rédaction de Gabon Media Time pour servir mon pays.

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