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Libreville : l’axe dispensaire Okala-lycée Mikolongo sans éclairage public

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Depuis des années l’axe dispensaire okala-lycée mikolongo est sans éclairage public. Une situation intenable pour les riverains qui deviennent des proies faciles pour des indélicats qui s’adonnent à des vols à la tire, agressions physiques et autres infractions. 

L’avenue du Comité pour la Transition et la restauration des institutions au pouvoir n’a vraisemblablement pas été un frein à l’insécurité grandissante dans le grand Libreville. Si d’aucuns affirment que cette problématique serait due à un manque d’implication du ministère de l’intérieur pour d’autres comme les habitants du quartier Okala, il serait accru à cause du manque d’éclairage public. En effet, depuis des années l’axe dispensaire Okala-lycée Mikolongo est plongé dans le noir une fois la nuit tombée. 

des proies faciles pour les brigands

Le manque de lampadaire sur cet axe fait des habitants de ce quartier de la commune de Libreville des proies faciles pour les brigands. En effet, plongé dans l’obscurité dès la nuit tombée ces derniers sont à la merci des indélicats qui s’adonnent au vol à la tire, agressions physiques, et tout autre infraction. Ce, sous le regard impuissant des autres riverains. 

Selon un riverain « Nous sommes dans le noir depuis des années. Ici tu ne peux pas sortir n’importe comment la nuit, il faut être accompagné même là ce n’est pas suffisant ». Il faut dire que cet axe n’est pas le seul sans éclairage public.« il en est de même pour la zone de l’auberge en partant vers le delta. S’il n y avait pas de magasin dans certaine zone tout ça serait dans le noir » a-t-il martelé. 

Une situation qui devrait interpeller les plus hautes autorités. En attendant des actions fortes des forces de sécurité et de défense, il serait judicieux que les pouvoirs publics puissent doter ces différentes zones de lampadaires. Afin de limiter les multiples agressions dont sont victimes les populations de cette partie de la Commune de Libreville. Vivement un changement de paradigme. 

Esther Kengue

Diplômée en Communication des organisations, l'écriture est une vocation que je mets au quotidien au profit de la rédaction de Gabon Media Time pour servir mon pays.

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