Libreville: il ligote et viole la soeur de 7 ans de sa petite-amie à Montalier
Un compatriote à la trentaine révolue dont l’identité n’a pour l’heure, pas été révelée, aurait été pris, le mercredi 04 août dernier, en flagrant délit de viol sur une fillette de 7 ans, par ailleurs sœur cadette de sa petite-amie. Le fidèle à l’Eglise internationale de la bénédiction et du salut (EIBS), sise à Montalier dans le 6ème arrondissement de Libreville, serait entre les mains des agents de forces de l’ordre, rapporte notre confrère TopinfosGabon.
Fervent fidèle de l’Eglise internationale de la bénédiction et du Salut, située à Montalier, rien ne laissait présager qu’un tel acte puisse être posé puisse venir de lui. Pourtant le mercredi 4 août dernier, le trentenaire se serait rendu chez sa petite-amie, absente pour la circonstance. C’est ainsi qu’il se retrouve esseulé avec les deux sœurs cadettes de cette dernière, seulement âgées de 7 et 12 ans.
Comme animé d’un esprit maléfique, l’homme de Dieu décide de faire des attouchements à la plus grande des deux bambines. Il va se heurter au refus de cette dernière qui parviendra à lui fausser compagnie. Déterminé à assouvir ses pulsions sexuelles, le trentenaire se penche sur l’inoffensive benjamine de 7 ans à peine. Pour ce faire, il l’aurait entraînée de force dans la chambre où il va la ligoter.
Une fois la victime neutralisée, le présumé violeur aurait contraint la jeune fille « à sucer son pénis avant de la pénétrer » relate le site Top infos Gabon. Embarqué dans ses basses besognes, il est surpris par l’oncle de sa petite amie qui se trouvait à quelques encablures de la maison. Il n’en faudra pas plus pour qu’il soit neutralisé puis conduit au commissariat de Nzeng-Ayong. Gardé à vue pour viol sur mineure de moins de 15 ans, le mis en cause pourrait encourir une grosse peine.
Pour rappel, le législateur gabonais prévoit en l’article 256 du Code pénal nouveau que tout viol « précédé, accompagné ou suivi de tortures ou d’actes de barbarie » est puni de la peine la réclusion criminelle à perpétuité assortie d’une amende de 50 millions FCFA. Dans le cas de figure, la fillette a préalablement été ligotée. Vivement que la justice Gabonaise fasse preuve de diligence afin de dissuader plus d’un.