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INSG : 4 filières à la maison, faute d’enseignants vacataires

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C’est le calvaire que vivent plusieurs étudiants de l’Institut national des sciences et de gestion (INSG) depuis le mois d’avril 2023. En effet, des centaines de jeunes compatriotes inscrits en MOI, MCC et CCA et GTE sont contraints de rester à leurs domiciles. Et ce, par « faute d’enseignants vacataires » selon le chef de département.

Jadis fleuron de l’enseignement supérieur, l’Institut national des sciences et de gestion n’est plus que l’ombre de lui-même. Tensions internes entre le personnel et la direction. Résultat, l’établissement avance à reculons. Et c’est peu de le dire. Car les maux qui minent l’INSG semblent insolubles.

4 filières de l’INSG condamnées à la maison

C’est le triste constat de l’heure. L’établissement public de formation par excellence des gestionnaires fonctionne à deux vitesses. Des étudiants en formation initiale qui s’apprêtent à achever l’année malgré quelques couacs. Et des étudiants en formation professionnelle qui sont contraints de traîner leur spleen à la maison. Il s’agit pourtant d’un public qui paie sa formation. 

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Un deux poids deux mesures qui a été instauré par la Chef de département. En effet, la responsable du parcours Licence professionnelle aurait décidé d’arrêter les cours en attendant d’avoir des enseignants vacataires. Et ce, en management des organisations internationales, comptabilité contrôle audit, gestion touristique et environnementale et management commercial et communication.

Un DG qui jette l’anathème sur ses collaborateurs

Las d’être tournés en bourrique par Lydie Oyaya qui ne semble pas avoir de solution idoine, deux étudiants se sentant pénalisés se seraient rapprochés du directeur général de l’Institut national des sciences de gestion. Seulement, seront-ils, quand Jocelyn Nembe leur répondra qu’il n’était pas compétent pour traiter ce dossier. Sapristi !


Comment expliquer qu’un directeur général d’une école supérieure ne puisse pas se prononcer sur ce type de problème ? Sans issue, ces apprenants du supérieur en fin de premier cycle s’en sont remis à Lydie Oyaya. Cette dernière leur aurait alors indiqué que les filières MOI,CCA GTE et MCC devront poursuivre les cours durant la campagne électorale. Pas de quoi ramener la quiétude dans les esprits.

Lyonnel Mbeng Essone

Rédacteur en chef adjoint, je suis diplômé en droit privé. J'ai longtemps fourbi mes armes dans les cabinets juridiques avant de me lancer dans le web journalisme. Bien que polyvalent, je me suis spécialisé sur les questions sociétés, justice, faits-divers et bien sûr actualités sportives.

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