Indépendance An 65 : l’UDIS appelle à l’unité nationale et au respect de l’État de droit

Alors que le Gabon célèbre ce 17 août 2025 le 65ᵉ anniversaire de son accession à la souveraineté internationale, l’Union pour la Démocratie et l’Intégration Sociale (UDIS) a publié un communiqué empreint de solennité. Le parti présidé par Hervé Patrick Opiangah a tenu à réaffirmer sa vision d’un Gabon uni, libre et digne, tout en insistant sur l’importance de l’État de droit.

Dans ce message adressé à la Nation, l’Union pour la Démocratie et l’Intégration Sociale a rappelé le sens profond de cette commémoration : un moment de mémoire et de responsabilité collective. « En ce jour de célébration nationale, nous commémorons 65 années d’indépendance, de luttes, de défis, mais aussi d’espérance pour notre cher pays, le Gabon », a indiqué la formation politique.

Le parti a insisté sur la nécessité de préserver l’unité nationale, jugeant qu’elle constitue la condition sine qua non pour relever les défis de l’époque.

Un appel au respect de l’État de droit

Au-delà de l’unité, l’UDIS a placé le respect de l’État de droit au cœur de son message. « Que ce jour ravive en chacun de nous le respect de l’État de droit, fondement de toute société juste, où chaque citoyen, quel que soit son rang, est soumis à la loi », a poursuivi le communiqué.

Dans une société en pleine transition politique, cette exhortation résonne comme une mise en garde contre toute tentation de dérive ou de privilège.

« Fidélité à la patrie et responsabilité devant l’histoire »

Enfin, l’UDIS a appelé les Gabonais à l’engagement personnel et collectif en faveur de la patrie. « Soyons fidèles à notre patrie. Honorons-la par nos actes, notre travail, notre droiture et notre engagement sincère. Enfin, ayons toujours à l’esprit que nous sommes responsables devant Dieu et devant l’histoire. Nos choix d’aujourd’hui forgeront l’avenir de nos enfants », a exhorté le parti.

Dans sa conclusion, l’Union pour la Démocratie et l’Intégration Sociale « bonne fête de l’indépendance à toutes et à tous », réaffirmant son attachement à un Gabon « uni, libre et digne ».