Gabon : les 7 ans du Samu social célébrés sous le prisme de l’unité
À l’heure de la restauration des institutions prônée par le CTRI, le cap est mis sur la paix sociale et la mutualisation des efforts pour l’atteinte de l’essor du Gabon. Une vision patriotique mise en valeur par le Dr. Wenceslas Yaba qui a entrepris de convier les anciens collaborateurs à festoyer ensemble pour les 7 ans de cette structure qui sauve des vies.
Longtemps en bisbille avec le Coordonnateur général du Service d’aide médicale d’urgence (Samu) social gabonais, les anciens agents de cette structure d’aide humanitaire ont pu mettre de l’eau dans leur vin pour communier ensemble les 7 ans de ladite structure. Un geste estampillé Dr. Wenceslas Yaba qui a priorisé l’amour à la désunion. Réceptifs à la main tendue, les plaignants semblent désormais tournés vers une démarche objective.
Samu social gabonais : 7 ans célébrés en paix
Les images ont fait le tour de la toile. Accompagnés de quelqu’uns de ses proches collaborateurs, le Dr. Wenceslas Yaba a profité de la date du 3 juillet pour casser les ponts et s’ouvrir à davantage au dialogue avec ses anciens agents. « J’ai décidé de rassembler ce qui est épars, en demandant à mes ex-collaborateurs, que je voyais moi-même de mes propres yeux pour la première fois, allongés sur notre barrière, de venir, de fêter avec nous », a-t-il souligné.
Humanitaire invétéré, le Coordonateur général de ladite structure a caractère social a rappelé l’intérêt de privilégier le dialogue social. Occasion donnée de remercier les agents actuels et ceux qui y sont passés avec un impact certain sur l’implémentation de cet outil dans tout le pays et ce, pour le bien des populations de tous horizons. Car martèle-t-il, « l’apaisement, la compréhension mutuelle, l’amour de mes semblables sont ce qui me caractérisent ».
L’Union fait la force
Force de propositions pour l’État de par sa part importante dans la couverture médicale et ce, gratuitement, le Samu social gabonais a en ligne de mire de continuer de satisfaire le plus grand nombre. Pour ce qui est des anciens agents en attente de règlements de leurs situations, le Dr. Wenceslas Yaba s’est dit engagé à « les aider à obtenir en fonction de la loi, des procédures administratives et de la concertation leurs dus communément quantifiés via les outils de l’État dédiés pour cela ».
Non sans manquer de mettre en exergue le bon sens qui a animé ces pères et mères de famille désormais résolus à opter pour des voies pacifiques. « Je félicite mes ex-collaborateurs qui ont assurément compris qu’il faut se concentrer sur l’essentiel, et prôner la lucidité, le respect et la conciliation », a conclu le Dr. Wenceslas Yaba. Ne dit-on pas que la fin d’une chose vaut mieux que son début. Une leçon de vie qui devrait faire école.