Washington : VAALCO réaffirme son ancrage au Gabon et promet de nouveaux investissements pétroliers

En marge de la visite officielle du président de la République Brice Clotaire Oligui Nguema aux États-Unis, la compagnie pétrolière américaine VAALCO Energy Inc. a réitéré son engagement au Gabon. Présente à la rencontre économique organisée à Washington par la U.S. Chamber of Commerce en partenariat avec les autorités gabonaises, l’entreprise a confirmé le lancement d’une nouvelle campagne de forage dès 2025.
C’est dans le cadre d’une rencontre économique de haut niveau présidée par le chef de l’État gabonais, que VAALCO Energy, acteur historique du secteur pétrolier national, a rappelé son attachement au Gabon. Son président-directeur général, Georges Maxwell, a salué la volonté de transformation économique exprimée par Libreville. « Le Gabon est un partenaire de long terme pour VAALCO. Nous saluons l’ambition portée par les autorités gabonaises et sommes pleinement engagés à soutenir cette dynamique », a-t-il déclaré.
Présente dans le pays depuis plus de vingt ans, la société américaine opère le champ offshore Étame-Marin et figure parmi les principaux producteurs d’hydrocarbures au Gabon. À travers cette participation, VAALCO confirme son intention d’intensifier ses investissements et de contribuer à la souveraineté énergétique nationale.
Soutien à l’emploi local et nouvelle phase de forage
Forte d’une majorité de collaborateurs gabonais, VAALCO mise sur la formation, le transfert de compétences et la performance environnementale pour asseoir son développement. La compagnie a ainsi annoncé une nouvelle campagne de forage prévue pour 2025, visant à renforcer la valorisation des ressources locales.
Alors que le gouvernement gabonais multiplie les efforts pour stimuler les investissements dans l’énergie, le numérique ou encore l’agriculture, la réaffirmation du partenariat stratégique avec VAALCO apparaît comme un signal fort envoyé aux investisseurs américains. En toile de fond, l’objectif est clair : diversifier l’économie, créer des emplois qualifiés et maximiser les retombées locales du secteur extractif.
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