Gabon: la culture nippone se découvre à l’Université Omar Bongo

Ce vendredi 9 décembre 2022, la bibliothèque de l’Université Omar Bongo (UOB) a servi de cadre à la célébration de la Journée du Japon. Un événement qui a pour objectif de vulgariser la culture du pays du Soleil levant à travers sa diversité mais surtout de mettre en lumière la coopération entre les deux pays à travers les activités de l’agence japonaise de coopération internationale (JICA).

C’est en présence de  l’Ambassadeur du Japon Shuji Nogushi, du président de l’agence japonaise de coopération internationale Umemoto Shinji, du doyen de l’université de la Flsh Monique Mavoungou Bouyou et du directeur général de la bibliothèque de l’UOB Ferdinand Ngoungoulou que la commémoration de la journée du Japon a eu lieu. Un événement qui avait pour objectif principal de faire découvrir la culture nippone au public gabonais. 

La première partie a été la projection d’un documentaire retraçant les activités de l’agence japonaise de coopération internationale notamment dans les domaines de la santé, l’éducation, la pêche, l’agriculture , le développement de la jeunesse ainsi que les sports. La seconde phase, elle, s’articulait autour des conférences débats et ateliers afin que le public découvre et expérimente la culture japonaise. 

Lors de son allocution, l’ambassadeur du Japon Shuji Nogushi a souligné l’intérêt de cette commémoration. « Nous avons donné cette journée pour donner des informations plus approfondies aux étudiants, aux futurs cadres du Gabon en espérant qu’ils deviennent des acteurs de l’amitié entre le Japon et le Gabon. Nous avons choisi la coopération internationale du Gabon parce que le Japon contribue au développement du Gabon dans plusieurs domaines» a-t-il déclaré.

 
C’est dans une ambiance conviviale et chaleureuse que le public venu nombreux a été  invité à la pratique de l’Origami, à la calligraphie, au port du Yukata et à la dégustation de thé japonais. La cérémonie s’est clôturée sur une séance de projection d’un film japonais intitulé « Dans un jardin qu’on dirait éternel ».