WPR 2025 : le Gabon, 86e pays où les femmes ont de fortes poitrines !
Le site World Population Review (WPR) a rendu public son classement annuel 2025 des tailles moyennes de bonnet par pays, une étude controversée mais régulièrement relayée sur les réseaux sociaux. Basé sur l’agrégation de données de ventes de soutiens-gorge, d’études anthropométriques et de rapports médicaux, le Gabon figure à la 86e place mondiale avec une taille moyenne estimée à B soit entre 300–450 ml par sein.
Dans ce ranking audacieux dominé par les pays du Nord de l’Europe et les États-Unis, avec des tailles oscillant entre DD ou D, le Gabon se glisse dans la vaste catégorie « B », celle des tailles moyennement petites, qu’il partage avec des nations aussi diverses que l’Irlande, le Portugal, l’Afrique du Sud ou le Maroc. À l’échelle africaine, il devance largement la majorité des pays subsahariens et du Maghreb, classés majoritairement en A.
Un classement minutieusement concocté !
Contrairement à une idée reçue, l’étude ne repose pas sur des mesures cliniques systématiques de la population féminine de chaque pays. Une hypothèse qui serait logistiquement impossible. À ce propos m, World Population Review explique compiler trois sources principales à savoir les données de ventes de lingerie des grands fabricants et distributeurs mondiaux. Lesquels déclarent les bonnets les plus vendus par marché national ou régional.
À cela s’ajoutent des études anthropométriques publiées notamment issues de revues médicales ou d’enquêtes universitaires sur l’indice de masse corporelle et la morphologie. Et la dernière donnée le nombre des rapports de santé publique intégrant parfois la taille mammaire comme variable par exemple dans les études sur l’allaitement ou les cancers du sein. Ces données sont ensuite converties en volume moyen estimé par sein puis traduites en bonnet.
Le Gabon dans le contexte africain et mondial
Avec son bonnet moyen B, le Gabon se situe dans la norme mondiale des pays à revenu intermédiaire. Il contraste fortement avec les leaders nordiques et américains en DD souvent associés à une forte corpulence plus importante et à une consommation élevée de produits laitiers dès l’enfance, facteurs reconnus pour influencer le développement mammaire. À l’inverse, la majorité des pays d’Afrique subsaharienne et d’Asie du Sud-Est se retrouvent en A.
Souvent corrélée à des IMC plus faibles et à une alimentation différente. WPR insiste tout de même sur le caractère approximatif de l’exercice. « La taille des seins varie énormément au sein d’une même population et dépend de facteurs génétiques, hormonaux, nutritionnels, de l’IMC, de l’âge et même du cycle menstruel. ». En définitive, ce classement, aussi ludique soit-il, rappelle surtout que la diversité morphologique féminine échappe à toute hiérarchie nationale.









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