Saint-Valentin : cocufié pendant qu’il était à la chasse, un mari veut divorcer à Mitzic
La fête des amoureux dénommée « Saint-Valentin » a tourné en vrille à Mitzic dans la soirée du 14 février 2024. Parti à la chasse, E.N. ne savait pas qu’il reviendrait croiser sa dulcinée dans les bras d’un jeune lycéen. Bien que déçu et en colère, la présence d’esprit et la sagesse ont pris le dessus sur l’émotion. Le cocufié ne demande que le divorce.
À Mitzic, chef-lieu du département de l’Okano dans la province du Woleu-Ntem, l’amour se règle au corps de garde. Les juridictions étant perçues comme le recours ultime avant de tout renverser. Pourtant l’expérience vécue par E.N ne devrait arriver à personne. Réputé bon père de famille et époux attentionné, cet compatriote ne savait pas qu’il serait trahi par sa moitié qu’il « avait doté avec l’argent de la prêche et l’orpaillage », a-t-il rappelé devant les sages.
Fin d’une idylle pour une tromperie débile ?
Placée en titre d’une film policier, la mésaventure vécue par E.N serait tributaire d’une simple mésentente entre époux. La femme exigeant à l’homme le droit de sortir dans Mitzic quand lui préparant une surprise, avait catégoriquement refusé. Selon ses proches , « Ella avait déjà organisé une soirée en amoureux. Il ne voulait pas que sa femme sache. Il est parti en brousse pour revenir vite avant 19h et mettre tout en place. Il avait même laissé l’argent pour cela ».
Une organisation qui aurait pu être bien accueillie en cette période dédiée aux amoureux mais l’adultère aurait décidé de s’immiscer. Exténué après une journée de dur labeur, le chasseur susmentionné aurait été attiré par des gémissements juste derrière sa demeure. En s’y rendant, il aurait découvert sa bien-aimée en plein ébat sexuel avec un jeune homme en tenue scolaire. Sapristi ! Après avoir proféré des menaces dans une ire incontrôlable, E.N, revient à ses meilleurs sentiments. Assis au corps de garde, il aurait juste demandé à sa belle-famille de lui faciliter le divorce.