PCR Bikele-Nzong : Nzengui Nzoundou en quête de solutions pour l’approvisionnement en eau et en électricité
Résolument engagé dans le processus d’amélioration des conditions de vie des Gabonais, le gouvernement de la Transition veut aller vite en ce qui concerne le relogement des populations impactées par les projets d’assainissements des bassins versants de Terre Nouvelle, Gué-Gué et Lowe-IAI. C’est dans cette optique que le ministre des Travaux publics, Flavien Nzengui Nzoundou a effectué le 06 avril dernier une visite d’évaluation du chantier du PCR Bikele-Nzong.
Contrôle des chantiers des voiries publiques, descentes de terrain sur les chantiers d’infrastructures routières, bref. Flavien Nzengui Nzoundou est sur tous les fronts en lien avec son département ministériel. Au chantier du Plan complet de relogement de Bikele-Nzong, le membre du gouvernement est allé s’assurer de l’avancement de la phase d’adduction en eau et en électricité.
300 premières villas en attente de livraison
Si ce chantier à l’arrêt sous Ali Bongo a connu une reprise, puis une accélération sous le Comité pour la transition et la restauration des institutions (CTRI), Flavien Nzengui Nzoundou, qui souhaite que les 300 premières villas soient livrées au plus vite, s’est vu édifier sur les pistes de solution envisagées pour l’adduction en eau et en électricité, qui selon les autorités, « impactent beaucoup sur les délais de livraison ».
En effet, en ce qui concerne l’électricité, Guy-Ulrich Ondounga, Coordonnateur Général de l’UCET a indiqué au ministre des TP que « l’entreprise SETEG (Société d’Electricité de Téléphone et d’Eau du Gabon) procède à la construction d’un réseau de haute tension, qui part d’un point situé à 3,7 Km du site du PCR », peut-on lire dans le compte-rendu de la visite. Par ailleurs, à propos de l’approvisionnement en eau, en attendant l’aboutissement du projet PIEPAL, le responsable de l’UCET a indiqué envisager « la possibilité d’impliquer les responsables de l’unité de gestion du projet PIEPAL et voir comment de manière transitoire le site peut être alimenté par ‘‘ jeu de vannes’’ à partir des installations de la (Société d’Energie et d’Eau du Gabon ».