Patrimoine mondial de l’humanité: Ali Bongo se félicite de l’inscription du Parc national de l’Ivindo
Après le parc national de la Lopé en 2007, l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) a inscrit un nouveau parc national gabonais sur sa liste du Patrimoine mondial. En effet, proposé en janvier 2020, le Parc national de l’Ivindo vient enfin d’être reconnu à sa juste valeur. Une légitime « récompense des efforts du Gabon », comme l’a souligné Ali Bongo Ondimba.
L’inscription du Parc national de l’Ivindo sur la liste du patrimoine mondial de l’Humanité par l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) a suscité de nombreuses réactions, en tête desquelles celle du Chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba. Il faut dire que la nouvelle est loin d’être anodine, quand on connaît l’impact de cette prestigieuse liste sur le développement touristique de certains pays.
En effet, avec désormais deux parcs à son actif inscrits au patrimoine mondial, le Gabon se hisse peu à peu parmi les pays de biens culturels et naturels présentant un intérêt exceptionnel pour l’héritage commun de l’humanité. Une belle « récompense des efforts du Gabon en matière de protection des forêts, dont le rôle est déterminant dans la lutte contre le réchauffement climatique », comme l’a très justement souligné Ali Bongo Ondimba.
Situé dans la province de l’Ogooué-Ivindo dans le centre-est du Gabon, celle-là même qui avait déjà offert au Gabon son premier parc inscrit au patrimoine mondial, le parc national de l’Ivindo abrite notamment les chutes de Kongou ainsi que « Langoué Bai », l’une des cinq clairières forestières les plus importantes d’Afrique. Son inscription au patrimoine mondial est donc, somme toute, légitime.