Moabi: elle viole un garçonnet de 9 ans
C’est le fait pour le moins surprenant survenu récemment au village Tondondo dans le département de la Douigny à Moabi, dans la province de la Nyanga. En effet, une Gabonaise âgée de 40 ans et mère de 8 enfants aurait agressé sexuellement le neveu de son concubin de 9 ans seulement rapporte le site Gabonactu.com.
Selon le site Gabonactu.com, les faits se seraient déroulés le week-end écoulé au village Tondondo. La compatriote de 40 ans dont l’identité n’a pas été révélée s’en va en brousse, récolter du vin de palme accompagné du neveu de son compagnon de vie âgé de 9 ans. Une fois près du lieu, elle lui aurait demandé s’il aurait déjà eu une expérience sexuelle. Ce à quoi il aurait répondu par la négative.
Une fois la réponse obtenue, la quadragénaire se serait allongée à même le sol, avant d’ordonner au jeune homme de « monter sur elle ». Une fois sa libido assouvie, elle lui aurait ordonné de rentrer au village non sans le sommer de ne parler à personne de ce qui venait de se passer. Le jeune homme s’exécute et pendant ce temps, elle continue son périple vers les palmiers de son concubin.
Une fois au village, le jeune garçon a un comportement inhabituel, ce qui interpelle les parents, notamment sa mère. Cette dernière jusqu’avant son arrivée pensait que son fils était effectivement aux palmiers avec son oncle, comme d’habitude. Au cours de la journée, l’adolescent se serait mis à uriner sans cesse, sans prononcer un seul mot, ni manger et ce, plusieurs heures durant. Un comportement qui inquiète davantage les proches.
Quelque temps après, le petit garçon visiblement choqué se serait mis à relater sans retenu les faits. Alertée, la brigade de gendarmerie de Moabi a procédé à l’interpellation de la mise en cause. En attendant son jugement, elle est en détention préventive à Tchibanga. Si elle est reconnue coupable, la quadragénaire risque jusqu’à 5 ans de réclusion criminelle et une amende de 20 millions de FCFA au plus conformément aux dispositions de l’article 255 du code pénal.