Législatives 2025 à Libreville : Christ Herman Pounah, un « nouveau visage » pour le 2ème siège du 3ᵉ arrondissement

Candidat indépendant aux législatives pour le 2ᵉ siège du 3ᵉ arrondissement de Libreville, Christ Herman Pounah veut incarner une alternative. Engagé dans le social à travers son association Espoir pour Tous, il mise sur une vision participative et collective pour transformer son arrondissement.

Un parcours associatif avant l’arène politique. Se présentant comme un homme issu de la société civile, Christ Herman Pounah rappelle son engagement dans la défense des intérêts des populations. Ancien secrétaire général du club OHADA Gabon, il a également porté de nombreuses actions sociales via son association Espoir pour Tous. « Je pars du principe que je suis partie intégrante de cette population. Mon engagement se traduit par un certain nombre d’actions que nous menons sur le terrain en termes d’aide et de soutien à nos frères et sœurs gabonais », a-t-il confié.

Son entrée en politique, explique-t-il, est motivée par le désir de rompre avec des pratiques anciennes. « J’ai décidé aujourd’hui, sous l’impulsion de mes frères et sœurs du 3ᵉ arrondissement, de me lancer dans l’arène parce que je pars du principe que je suis à même d’apporter quelque chose », a-t-il affirmé.

Une vision participative pour un arrondissement prospère

Le candidat insiste sur une approche collective : « Ma vision pour cet arrondissement est d’en faire un arrondissement prospère, mais cette prospérité ne peut passer que par l’apport de chacun des fils et des filles de cet arrondissement. C’est ensemble que nous sommes capables de bâtir quelque chose de durable », a-t-il précisé.

Revendiquant sa posture de « nouveau visage » dans l’arène politique, Christ Herman Pounah affirme n’avoir jamais appartenu à un parti ni exercé de fonctions électives. Un choix qu’il revendique comme un gage d’indépendance et de renouveau. « Je demanderai à mes frères et sœurs de me faire confiance parce que je crois incarner un nouveau visage dans cet univers politique », a-t-il conclu.