Gabon: vers une meilleure prise en compte des aspirations des consommateurs
A peine la troisième phase du séminaire de vulgarisation et de formation sur les nouveaux textes réglementaires bouclée, la Direction générale de la concurrence et de la Consommation (DGCC) a entamé la quatrième phase de ces rendez-vous. Ainsi, ce lundi 6 décembre, magistrats, dirigeants, cadres du secteur privé, patronat, responsables et cadres des administrations en charge de l’économie, du commerce et représentants des associations de consommateurs, ont échangé sur la nécessité d’établir une législation et une politique nationale sur la protection du consommateur.
Après avoir clos le séminaire portant sur le « renforcement de la concurrence et de la protection des consommateurs en Afrique centrale », séminaire qui a offert un peu plus de perspectives en ce qui concerne notamment l’élaboration d’une nouvelle réglementation sur la concurrence, la Direction générale de la concurrence et de la Consommation (DGCC) a poursuivie sa réflexion sur la protection du consommateur.
En effet, autour de magistrats, dirigeants, cadres du secteur privé, responsables et cadres des administrations en charge de l’économie, du commerce et autres représentants des associations de consommateurs, l’organisme a insisté sur la « nécessité d’établir une législation et une politique nationale sur la protection du consommateur ». Une volonté qui suit les recommandations précédentes portant notamment sur la concurrence.
Mettant l’accent aussi bien sur la protection du consommateur et les services publics de distribution, les principes directeurs des Nations Unies pour la protection du consommateur, le droit à la consommation, mais également les organismes et associations des consommateurs, les participants à ce nouveau séminaire auront donc durant les 4 jours de travaux, des échanges portant sur ce consommateur qui semble relégué au second plan aussi bien par les décideurs que par les opérateurs économiques en dépit de profondes aspirations.