Gabon : Oligui Nguema pour une gestion rigoureuse, transparente et responsable des deniers publics
Le vendredi 7 novembre dernier, Théophane Nzame-Nze Biyoghe, porte-parole et conseiller spécial du Chef de l’État gabonais, a abordé les principales questions économiques qui préoccupent actuellement le pays. Occasion pour ce dernier de revenir sur le décaissement de 28 milliards de FCFA effectué par l’État en faveur des institutions multilatérales, tout en réaffirmant l’engagement du président de la République, Brice Clotaire Oligui Nguema, envers une gestion orthodoxe des finances publiques dans un contexte de redressement macroéconomique.
Au cours de cet échange avec la presse nationale et internationale, le porte-parole de la Présidence de la République a souligné que le récent décaissement de 28,3 milliards de FCFA pour couvrir la dette du Gabon envers des institutions multilatérales représente un signal fort en faveur d’un retour à la stabilité financière. En effet, cet effort réalisé par l’Etat « s’inscrit dans une stratégie de redressement macroéconomique fondée sur l’assainissement des finances publiques, la stabilisation de la dette et la relance des investissements productifs ».
Théophane Nzame-Nze Biyoghe a également souligné que ce geste illustre la détermination du Chef de l’État Brice Clotaire Oligui Nguema à restaurer la confiance auprès des partenaires internationaux et à démontrer la fiabilité du Gabon dans l’accomplissement de ses engagements financiers.
Vers une coopération renforcée avec le FMI
Dans la droite ligne de cette stratégie, le conseiller spécial du Chef de l’État gabonais est également revenu sur la récente rencontre entre le Président de la République et Abebe Aemro Selassie, Directeur du Département Afrique du Fonds Monétaire International (FMI)qui a permis d’évaluer les progrès réalisés en matière de maîtrise des dépenses et d’optimisation des recettes fiscales. Au cours de cette rencontre Brice Clotaire Oligui Nguema a réitéré sa volonté d’adopter une approche rigoureuse, transparente et responsable dans la gestion des ressources publiques.
Le FMI, pour sa part, a salué les avancées constatées et a confirmé son soutien à cette dynamique de redressement et de stabilité du pays. Cette coopération est également conçue pour préserver les volets sociaux de la politique nationale, en particulier pour le bénéfice des populations et des jeunes du Gabon.
Une dynamique qui démontre que le Gabon est indéniablement engagé sur la voie d’une gouvernance plus responsable, plaçant la transparence et la rigueur budgétaire au cœur de ses priorités.









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