Franceville : aux arrêts pour le viol en réunion d’une mineure !

Trois jeunes compatriotes, Junior N.O, Méola G.N et Zidane M, âgés de 30, 31 et de 27 ans ont été mis aux arrêts pour avoir abusé sexuellement d’une enfant de 11ans à Bapili dans la province du Haut-Ogooué, il y a quelques semaines, selon L’Union du 05 août 2025. Ces derniers auraient profité de l’innocence de l’adolescente à plusieurs reprises. Un acte qui aurait fini par mettre la jeune fille en grossesse.

La jeune GSF, de nationalité camerounaise,élève en classe de 6e dans un établissement de la localité, serait la victime des tendances pédophiles de trois jeunes gabonais à Franceville. Ce serait grâce à une plainte déposée par son père que le trio aurait été appréhendé par la la l’antenne provinciale de la Police Judiciaire. Une histoire qui attire l’attention des populations quant à son dénouement.

Une jeunesse volée par un trio d’insouciants !

Junior N.O, Méola G.N et Zidane M n’auraient eu aucune pudeur à commettre cet acte sur la jeune GSF. Celle-cis’en sort avec une grossesse de deux mois. Les compères auraient été entendus par le magistrat instructeur qui les aurait par la suite mis en détention préventive à la maison d’arrêt de Yéné. Selon les précisions du confrère, les autorités judiciaires et sociales entendent ne ménager aucun effort afin que justice soit rendue.

Pour l’heure, les populations restent yeux et oreilles rivés sur les conclusions de l’enquête de la police judiciaire. En outre, derrière cette affaire, les questions de la protection de l’enfance et de la responsabilité parentale sont de nouveau sur la table. Car, même si les trois jeunes sont coupables, il serait normal de se demander où étaient les parents de la victime tout ce temps? N’avaient-ils pas remarqué la souffrance de leur enfant?

En effet, ces derniers devraient également être interrogés car, il est incompréhensible qu’une enfant de 11 ans puisse subir un tel traumatisme sans que les géniteurs ne s’en rendent compte. Eux aussi ont leur part de responsabilité dans cette affaire. Gageons que les autorités sociales et judiciaires tirent cette histoire au clair.