Digitalisation des services municipaux : Hermann Immongault exige des résultats dans les 100 jours

Dans la droite ligne des Très Hautes Instructions du Président de la République Brice Clotaire Oligui Nguema, le ministre de l’Intérieur, de la Sécurité et de la Décentralisation, Hermann Immongault, a présidé ce lundi 2 juin 2025 une réunion stratégique avec les Délégués Spéciaux des communes de Libreville, Owendo et Akanda, en présence de l’Agence Nationale des Infrastructures Numériques et des Fréquences (ANINF). Objectif : accélérer la digitalisation des services municipaux dans le cadre du plan des 100 jours du gouvernement.
Cette séance de travail intervient dans le prolongement d’une précédente rencontre avec le ministère de l’Économie numérique. Il s’agissait pour Hermann Immongault de faire un point d’étape sur trois projets numériques phares, considérés comme cruciaux pour moderniser l’administration municipale et améliorer les services aux citoyens : l’identification sécurisée des chauffeurs de taxi par QR Code, la digitalisation de la collecte des taxes locales, et la numérisation intégrale des actes d’état civil.
Une impulsion présidentielle pour des résultats concrets
Sous l’impulsion du Chef de l’État, la digitalisation est devenue un pilier de la gouvernance publique de la Vème République. « Un seul mot d’ordre : efficacité et résultats », a martelé le ministre de l’Intérieur, fixant un cap clair aux administrations municipales concernées.
Il a instruit ses collaborateurs de lever immédiatement tous les obstacles techniques, administratifs ou budgétaires freinant la mise en œuvre des projets. À ce titre, les ministères sectoriels devront être associés sans délai à la résolution des blocages identifiés.
Des engagements clairs pour la modernisation
La réunion a également permis de rappeler que ces initiatives doivent impérativement être livrées dans les délais impartis par le Gouvernement pour les 100 premiers jours d’action. La réforme de l’état civil, en particulier, est considérée comme stratégique pour restaurer la confiance entre les citoyens et l’État, tout comme la sécurisation du transport urbain ou l’optimisation des ressources fiscales locales. Avec cette nouvelle phase de coordination, le gouvernement entend bien montrer que la digitalisation n’est plus un vœu pieux, mais une exigence républicaine concrète, mesurable et irréversible.
« Il a instruit ses collaborateurs de lever immédiatement tous les obstacles techniques, administratifs ou budgétaires freinant la mise en œuvre des projets. À ce titre, les ministères sectoriels devront être associés sans délai à la résolution des blocages identifiés. »
C’est souvent a ce niveau que se pose le véritable problème : l’absence récurrente d’une volonté d’harmoniser le travail (supposé être de groupe) !
Observons !!!