La 32e session de l’assemblée parlementaire paritaire des pays de l’UE et de l’ACP (Afrique, Caraïbes, Pacifique) se poursuit ce matin à Nairobi au Kenya, au menu des discussions la crise post-électorale gabonaise. Les députés doivent se mettre d’accord sur une résolution commune sur la situation post-électorale au Gabon proposée par l’Union européenne. Elle devrait être votée en séance plénière ce mercredi après-midi, nous rapporte Radio France internationale.
Suspendues tard dans la soirée mardi, après 12 heures d’âpre débat, les négociations sur le cas du Gabon devraient reprendre ce mercredi 21 décembre. Une proposition de résolution portée par les parlementaires européens fait toujours blocage, notamment sur certain terme contenu dans ce texte. Elle évoque entre autre « un processus électoral non transparent aux résultats douteux », et exige « un nouveau décompte des voix qui comprend, selon la délégation de l’Union européenne, une comparaison des procès-verbaux de la Cénap, la Commission électorale, et de l’opposition pour la province du Haut-Ogooué », souligne la radio internationale.
Côté gabonais, les positions sont claires, « Pour nous, les élections sont passées, il faut avancer et respecter la Constitution », ajoutant en sus que « Les pays ACP considèrent qu’ils n’ont pas le moyen de vérifier certaines des affirmations présentes dans le texte ».
Dès lors, les discussions entre parlementaires ACP et européens vont se poursuivre ce matin, avec le risque que la résolution soit abandonnée au profit d’une résolution portée par seulement une partie des députés, si un consensus n’est pas trouvé.
Mais pourquoi la fameuse partie gabonaise bloque le processus ils se disent vainqueur alors qu ils accepté le recomptage de voix c est tout .on comprend finalement que ce pays et leurs fameux dirigeants sont des voyous qui pensent à leurs intérêts.l ue n avait qu à donné des sanctions c est tout vu que certains africains soutiennent la dictature voici l Afrique démocratie bafouée
L’UE n’est pas au dessus de nos états qu’ils aillent se faire foutre, ces escrocs qui pensent que l’Afrique est leurs propriétés. Ils ne feront rien quel investissement ont ils au Gabon? Seule la France payera le prix fort d’un idiot embargo, avec la plutiplication du nombre de ses chômeurs, si et seulement si totale, Morel et prom et fermait