
Invitée à l’émission Confessionnal sur Life TV, Shan’L la Kinda s’est prêtée au jeu sans tabou de questions-réponses. Occasion pour celle qui revêt avec fierté l’étiquette de « panthère du Gabon » de révéler que ce qui la blesse le plus c’est le fait d’être qualifié de « femme sale ». Un coup bas dont elle se défend avec toute l’énergie.
L’interprète du titre à succès « Tchizambengue » aura beau vendre l’image d’une « Kinda » entendez par là, une personne qui sait endosser et se démêler dans les pires tracas, elle ne se sent pas moins une femme. Et d’aussi loin qu’on s’en souvienne, aucune femme n’est insensible aux critiques négatives sur son physique ou son hygiène. D’Aya Nakamura à Eudoxie Yao, le scénario semble se répéter avec Shan’L qui est taxée d’être peu présentable . Enfin les internautes se permettent de la traiter de « femme sale ».
La « reine des Tchiza » qui a récemment révélé être disposée à se marier, a tenu à tordre le cou à ce ragot de couloir. En effet, lors de son passage remarqué et remarquable sur le plateau de l’émission Confessionnal sur Life TV , dont l’extrait a été publié sur la toile par Konnie Touré, Shan’L a laissé parler son âme d’enfant au cœur tendre en répondant à ses détracteurs. Questionnée sur les commentaires qui la blessent le plus, elle répond « C’est quand on dit que je suis sale. Ça m’énerve. Et vraiment c’est frustrant. Parce que je prends des bains et j’ai plein de parfums », a-t-elle déploré avec un brin d’humeur.
Un coup de gueule qui rappelle qu’au-delà d’être des personnes publiques, les artistes sont des êtres qui ont une vie sociale donc de la famille. Aborder de leur intimité est d’autant plus déplacé que très souvent ce ne sont que des allégations difficilement étayées par des éléments de preuve. Entre injures et commentaires déplacés, les internautes devraient peut-être mieux contrôler leurs sorties. Dans tous les cas, les artistes et les hommes politiques, pour ne citer que ceux-ci, sont sans doute préparés à supporter la rafale de propos désobligeants de leurs fans ou de ceux qui n’en sont pas.