Pour une histoire de verres cassés, il se fait séquestrer et tabasser toute une nuit
L’histoire aurait tournée au drame sans l’intervention des forces de sécurités. En effet, le nommé Arnaud Mounanga a été victime des pires des sévices pour une simple histoire de verres cassés, nous rapporte le quotidien l’Union de ce vendredi 21 juillet 2017.
Les faits se dérouleNT au village Asseng, dans le département du Komo-Kango dans la province de l’Estuaire, dans la nuit du 14 au 15 juillet dernier, Arnaud Mounanga, dans le soucis de passer du bon temps va se rendre chez Raphaël Ndombi qui tient une buvette de vente de vin de canne communément appelé Mussungu, avec Prisca Tsimbou et son compagnon Augustin Bekoutou.
Après quelques verres de l’envoutant breuvage, le malheureux va casser par inadvertance quelques verres, ce qui va provoquer dès lors la colère des tenanciers du maquis qui vont décider de donner une bonne correction à Arnaud Mounanga. Les trois compères vont tout d’abord lui administrer «une bastille qui n’est pas son âge» durant plusieurs heures, après ces sévices corporelles, ils vont le ligoter. pire, Raphaël Ndombi, Prisca Tsimbou et Augustin Bekoutou vont marquer au fer rouge le malheureux client à l’aide d’une machette et cela sur différentes parties de son corps.
Le calvaire de Arnaud Mounanga a eu lieu de 2 heures à 7 heures, c’est après l’alerte donner par des villageois que la Brigade de Kango-centre interviendra pour sauver la victime. Les tortionnaires présumés ont été arrêtés par la même occasion et mis à disposition du procureur de la République.